CHAMPS BIOLOGIQUES
2025 04 17
Mise à jour
1/ Français :
Les Soins Numérisés que nous proposons en libre-service sont simples d’emploi. Ils reposent sur l’exposition du malade à des champs informatifs propres émis par l’écran d’un PC.
Devant un Biofilm, un "Infofilm", qui est un programme de champ biologique bénéfique, le pouls se met à battre avec force (sans s’accélérer). L'étude de ces champs repose en effet sur le Pouls de Nogier: www.pulsologie.com.
Ces soins sont complémentaires des traitements classiques. Ils entrent dans le cadre des « Thérapies conscientisées » tels des chants grégoriens.
Champs Informatifs : définition.
Ces champs immatériels émanent donc de tous les êtres vivants
L’effet bénéfique des chants d’oiseaux ou d’insectes, via des enregistrements audio, sur les plantations d’arboriculteurs est connue, ils contribuent à contrer les effets maléfiques des phytosanitaires que les arboriculteurs du voisinage utilisent. Les violons de la musique de Bach ont un résultat favorable similaire.
Certaines compositions musicales, les œuvres d’Allegri, de Tomas Luis de Victoria, de Pergolèse, de Palestrina ou de Monteverdi, par exemple, sont également aptes à induire une grande sérénité. La spiritualité du compositeur transcende mystérieusement la mélodie, même si la spiritualité de son interprète laisse à désirer.
Les granules homéopathiques en haute dilution, qui sont affranchis de toute matière hors leur support (granules).
Ces champs ne sont pas isolables à l’état pur mais les champs électromagnétiques porteurs les renforcent. Les PC témoignent de ces Infochamps biologiques à travers les effets cliniques qui accompagnent les expositions des malades aux Biochamps appropriés.
De la peau émane le point d’acupuncture. Depuis un siècle aucun microscope n’a pu révéler la moindre structure cutanée évocatrice d’un point d’acupuncture et pourtant ils existent, le pouls en fait foi. Et, bien ciblée, l’acupuncture est bien efficace.
Nous entrons de plain-pied dans un monde « hors-scientifique » dès lors qu’aucune approche technique moderne n’arrive à appréhender ces phénomènes irrationnels qui viennent de la nuit des temps (acupuncture) et qui s'affranchissent de toute réalité scientifique.
Ces champs informatifs nous échappent puisqu’ils ne peuvent être captés isolément, ni enregistrés sur papier ou se laisser voir. Ils vont à l’encontre de la méthode scientifique, limitée aux observations « visuelles », vérifiables, reproductives, non réfutables.
Les champs informatifs émanent d’une réalité invisible; ils ne sont décelés que de manière « tactile » via la palpation du pouls radial et de tout l’arbre artériel.
Déjà en 1943, le Pr René Leriche avait noté un phénomène inexplicable chez un de ses malades qu’il avait opéré d’un anévrysme artérioveineux de la région fémorale. L’artère isolée mais encore dilatée réagissait, à l’œil nu, à de faibles stimuli cutanés distants ; il évoquait l’existence d’un « réflexe cutanéo-vasculaire » ; ce phénomène annonçait le futur Pouls de Paul Nogier.
Pour ma part, externe à l’Hôpital de l’Hôtel-Dieu de Paris, et chargé (en 1960) de l’étude du pouls d’un malade porteur d’un infarctus myocardique, j’avais noté les soubresauts de ce pouls quand l’infirmière était venue placer un thermomètre à mercure au contact du lit du malade ; la toxicité du mercure par conduction en était le stimulus ; mais j’étais trop jeune pour comprendre.
Ces champs informatifs procèdent de la Vie, mais aussi, de manière extraordinaire, du Verbe et de chaque MOT.
.
Liens entre Champs EM et Champs Biologiques.
Partons des travaux de J. Benveniste et de ceux du Pr L. Montagnier, son prolongateur. Ces auteurs se sont focalisés sur les champs EM. Ils considérèrent que l’information encodée était de nature purement EM.
Notre conception diffère. Les champs informatifs, dans lesquels les êtres vivants baignent, sont en amont des Champs EM porteurs. Les champs EM ne sont que le support (via des champs de torsion) des champs informatifs.
Champs biologiques favorables.
Les champs biologiques naturels, purs et favorables sont bien identifiables dans la nature. Ils sont à l’origine de ces arbres isolés, issus de nulle part et qui font repère dans certaines régions désolées voire désertiques.
On retrouve aussi ces champs biologiques au milieu des prairies sous forme de cercles (dits de sorcière). L’herbe est bien plus verte et plus haute qu’au centre ou en périphérie ; il y a aussi les cercles de champignons (mousserons), surnommés "ronds de sorcières".
Nous sommes parvenus à mettre en avant ces champs informatifs. Ils relèvent du pouls de Nogier : ils résultent donc d’une approche clinique (qui échappe à l’IA) car ils relèvent de la palpation.
Maladies améliorées par les champs biologiques.
Notre étude a consisté à repérer, répertorier, via le pouls, les champs informatifs aptes à corriger un certain nombre de Pathologies courantes plus ou moins sévères.
A l’origine, ces champs biologiques enregistrés étaient issus de tissus pathologiques, et de substances pharmacologiques chimiques, (voir www.remedes-numeriques.com ) dès lors que leur Nom était bien défini.
Parmi les pathologies fréquentes, à partir de champs informatifs issus d’elles-mêmes, certaines sont faciles à traiter par exposition.
Comment agissent ces champs informatifs ? Il est fort difficile d’en rendre compte ; nous pensons qu’ils agissent par stimulation d’un substrat déréglé, mais lequel ?
Les pathologies oncologiques (cancers) sont aussi de notre domaine d'action ; nous proposons, sur le site « remedes-numeriques.com » des « Infofilms » de nombreux médicaments numériques (récents) afin de pouvoir choisir, via le pouls, les remèdes les mieux ciblés, les plus adaptés pour l'individu atteint. Cette offre reste totalement potentielle ; quel oncologue viendrait se "fourvoyer dans une telle connivence" sans risquer sa réputation ?
Les anomalies génétiques s’éloignent de notre domaine. Certes leurs Biofilms nous permettent de poser un diagnostic, voire de stimuler les gènes.
Entre une sinusite, une grippe bénigne et des pathologies plus chroniques, il y a de nombreux degrés. Il y a aussi une différence entre les maladies compensées (le malade se défend) et les décompensées (l’organisme perd pied).
Les expositions que nous proposons seront donc plus ou moins efficaces et devront être poursuivies plus ou moins longtemps, mais, disons-le, certains Infofilms sont « encourageants ». Notre rôle est d’étayer les traitements déjà instaurés.
Certes dans les cas chroniques, la nature pathologique reprend ses droits et une nouvelle exposition aux Biofilms favorables s’impose.
Nous ne prétendons pas guérir mais soulager certaines maladies. En toute humilité, comme dans toute recherche, nous sommes sur un chemin non balisé non exempté d’errances.
Les Motchamps
Le Mot procède du Vivant et le Vivant procède du MOT, quelle que soit la langue, dès lors que le mot porte et soutient une entité précise.
Les champs informatifs procèdent aussi du Verbe et de chaque MOT. Ceci est une mutation de notre recherche.
Nos précédents Biofilms émanaient d’un point central zoomé.
Ce point se présentait comme le « noyau » de la Bande passante audio ou de toute photo d’image pathologique. Il était repéré avec un détecteur particulier. Son amplification (zoom) était censée marginaliser l’image environnante au profit de ce noyau. Et il m’apporta des résultats thérapeutiques non négligeables mais assez fluctuants...
Puis nous sommes passés au Mot bien cadré. La photo d’une rougeole par exemple fut remplacée par le mot « Rougeole ».. Avec étonnement nous avons constaté que ce mot avait lui aussi un foyer, un point central, qui pouvait être exploité comme ci-dessus. Nous avons seulement été intrigués de noter que ce foyer résonnait bien au survol d’un détecteur mais qu’assez souvent, pour d’autres Mots, la résonance se faisait « en halo » comme en regard d’un point en creux (pseudo-résonance) … Je fus amené à m’interroger sur la convenance de mes stylo-détecteurs, et fus conduit vers un détecteur naturel : la pointe de mon Médius .
Détecteur biologique IMPORTANT : le Médius
.
J’en revins alors au détecteur biologique que j’avais décrit, il y a bien longtemps, à propos de la division en damier de 32 champs cutanés du corps. Le Médius de ma main D a cette capacité, à son extrémité, de résumer les 4 champs basiques du damier crânien ; il en va de même du Médius G et des médius des orteils.
Les Damiers
Les capacités du médius, liées à sa distribution en 4 champs cutanés, m’invitèrent à une extension de cette idée de champs cutanés au profit des Mots de maladies ou de médicament.
Les damiers à 16 champs: BN1 et BN2
Il tire donc son origine du fait que la face antérieure du corps est divisée en 16 champs cutanés.
Ces damiers sont BN :ce sont les deux cases noire-blanche du BAS qui le définissent.
Ces damiers n’oscillent presque pas, ils sont globalement fixes et silencieux, via la pointe du médius ; mais ceci représente une exception si le nez du Pulsologue est parfaitement dans le plan de l’axe vertical du damier ;
Si son nez est légèrement à D ou à G de l’axe vertical, il capte une petite oscillation (entre 4 et 6 pulsations)
Mais s’il est franchement à D ou à G, ou si le damier est latéralisé à G (ou à D) de l’écran, la fixité est rigoureuse ; le Pulsologue n’interfère plus via ses propres champs cutanés.
Nous évoquons donc l’hypothèse qu’il y a congruence entre ces 16 cases et les 16 champs cutanés antérieurs du corps du Pulsologue qui fait face à l’écran du PC.
L’étude de ce damier latéralisé est très intéressante.
Latéralisé à G de l’écran, selon mon habitude, tout damier d’une maladie ou d’une substance médicinale se comporte de deux façons spontanées : ou il déclenche des pulsations fortes au pouls (P en travers) ou bien il reste silencieux.
Ce comportement est le même si le damier est latéralisé à D de l’écran.
1/ Le pouls se manifeste spontanément, sans l’intermédiaire du médius ou d’un détecteur.
La forme silencieuse est transformée en forme pulsante par simple inversion de couleur. Le damier pulsant spontané est notre principal critère de définition. Les damiers des Pathologies ou des médicaments se classent donc en BN et NB pulsants.
2/ Faisons maintenant appel au Médius. Positionné au centre du croisement du damier, le médius fait réagir le pouls de deux manières :ou bien une forte pulsation est ressentie au centre : elle caractérise le damier BN 1 tel « Codenfan » ou le damier NB 1 ; ou bien la pulsation est ressentie sur tout le damier sauf au centre, ceci définit les damiers BN 2 tel « Symbicort » ou le damier NB 2.
Finalement, les substances biologiques paraissent se répartir en 4 groupes.
Le damier à 16 champs BN Global
Il s’agit du troisième type découvert du damier. Celui-ci n’est ni BN1 ni BN2 mais BN « global ». Le médius en survol fait résonner à la fois le centre, le damier et la périphérie du damier.
Ce genre de damier caractérise très souvent les meilleurs médicaments d’une spécialité ainsi que les remèdes en THD, (très haute dilution homéopathique) en 1000M-CH.
Naturellement, il existe aussi 3 sortes de damiers opposés,
NB1, NB2, NB global.
Au total, les remèdes se groupent en 6 groupes.
On retrouve ces
6 groupes en pathologie, mais les formes globales sont plus rares.
LE MALADE ET SES 2 REPRESENTATIONS
Il peut se manifester via sa photo (tête et cou) envoyée par mail ou WhatsApp.
Il est aussi possible de le nmmer sous forme : « Prénom-N. »
Prénom-N.
Pour être en harmonie avec les listes de médicaments en damier, ce Prénom-N. doit subir, via Paint, une « mise en damier » lui-même et de manière cohérente en 16 cases :
Le Prénom se présente généralement sous forme NB.
La Photo
La photo directe « visage-cou » est naturellement sous forme de 4 champs basiques, elle est du type NB.
Le malade réel
Il n’a pas sa place dans nos tests devant écran car il n’est pas en 2D mais en 3D, ce qui favoriserait des interférences avec le Pulsologue. En revanche il trouve sa place dans le contrôle du résultat des tests (pendant l'exposition).
Le malade audio fait exception
Le malade peut en effet vous téléphoner. Et votre haut-parleur émet un message Mono en 1D. Tant qu’il est au bout du fil, même sans parler, la présence du patient devant son microphone suffit à vous transmettre l’information biologique, pathologique de tout son être. C’est aussi prodigieux qu'hallucinant. En cette circonstance, le Pulsologue 3D n’interfère pas.
Il devient ainsi possible de mesurer à distance l’effet d’un traitement via le pouls.
Spécificité de la résonance entre une photo et une substance
Spécificité du Mot en soi : il peut être composé : « générique-spécialité ». Si jamais il y a erreur sur l’un d’eux, mésalliance, le médius ne perçoit plus le point central.
Ce mixage Ventoline-Bécotide est une sorte de chimère. Le survol du médius induit des pulsations TTTT sur toute sa surface. inouï !
En revanche, le
Nom générique ou celui d’une spécialité médicinale résonne parfaitement tant avec la
photo des gélules du médicament, qu’avec la photo de son
emballage portant son Nom.
Expérience simple : afficher sur le PC le Nom du médicament à G de l’écran (Salbutamol) et la photo du même médicament à D (Ventoline), sans contact des images ; le survol
à distance avec le Médius D révèle la forte résonance qui unit les deux images ; si l’une d’elles est retirée de l’écran, toute résonance au pouls disparaît ; elle s’évanouit, aussi, quand le Nom ne correspond pas à l’image.
Comment procéder avec le PC ?
Avertissement :Je dispose d’un PC dont le clavier et l’écran sont filaires. Aucun test avec une souris ou un clavier sans fil de connexion avec le PC n’a été expérimenté jusqu’ici.
Nous savons que le Nom du malade en 16 cases est inscrit – via Paint – sur un côté de l’écran.
On Choisit la liste des pathologies selon le type de maladie (la spécialité). La liste des maladies est affichée de manière controlatérale à l’écran, sans contact avec le Nom (ou la photo).
Le choix du stylo détecteur
1/ Le stylo universel S.T.A.R. et son alter ego, inversé de couleur, sont devenus des références majeures. Le premier sert de détecteur pour les malades masculins et le second pour les féminins.
2/ Le stylo « Info-1et2 » est nouveau. Il permet les tests sur les Pathologies ou les remèdes BN ou NB globaux.
3/ Il existe d’autres stylos réservés aux Pulsologues qui permettent de cibler les damiers des groupes BN (1 et 2) et NB, soit pour cibler les groupes 1 (BN ou NB) et 2 (BN ou NB)… ces 4 stylos sont plus maniables que le médius. Ils sont indispensables pour contrôler les classifications en 4 groupes en vérifiant l’absence absolue d’intrus issus d’un damier mal défini.
Les substances en lice sont survolées avec la pointe du stylo.
Réalisation du stylo induit : le stylo est un simple crayon plastifié, tenu de la main droite, qui, placé devant le Motfilm ou l’image du S.T.A.R., se charge de l’information après une minute d’exposition. Cette induction doit être renouvelée une fois par jour ou tous les deux jours selon l’usage.
Ces différents stylos sont repérables via les différentes couleurs des plastiques.
Diagnostic de Pathologie en l’absence du patient
Le praticien ne peut pas tester des remèdes directement sur le malade en 3D car, dans ce cas, des interférences informatives se produiraient avec lui-même en 3D.
Si le Pulsologue recherche un Diagnostic pour lui-même, il doit entrer lui aussi son Prénom-N en 2D, par cohérence, pour respecter la liste des pathologies en 2D. Sa photo en 2D est aussi cohérente.
Le mystère du Prénom
Comme nous venons de le voir, le malade peut être remplacé autant par sa photo que par son « Prénom-Nom ».
Ce qui interpelle vivement, c’est ceci : le Prénom-N. n’est pas daté ! Tout se passe comme si le temps n’existait pas ! A trois mois d’écart un même patient peut être porteur de deux affections différentes ; or les remèdes élus seront en phase avec l’état sanitaire actualisé du patient représenté par son Prénom-N sur lequel le Pulsologie se concentre. Puisqu’aucune photo ne peut témoigner des affections passées, il reste possible malgré tout de revenir en arrière en ajoutant sur le dossier de la photo ou du prénom, la date antérieure de l’ex pathologie.
Elle va à l’encontre de la démarche scientifique qui exige la répétitivité de toute expérience et la référence au temps.
Ceci n’est pas une expérience de pensée ; j’’évoquerais plutôt une expérience de conscience, car celle-ci ne peut réussir que si le porteur du Prénom-N (ou sa photo) est vivant : en effet le damier du Prénom (à 4 ou à 16 champs) d’une personne décédée reste muet en regard du médius ou de la latéralisation, à G de l’écran, de son damier et n’entre en aucune résonance pathologique ou médicinale ! Ainsi la cause d’un décès n’est pas accessible.
A contrario, la photo ou le damier d’une personne vivante est apte à toute investigation pulsologique, même si cette personne vit aux antipodes de la terre.
Bref, on peut toucher du doigt la Transcendance, donc les deux Mondes.
Mode d’emploi des soins-numerises.
Diagnostic
La Maladie
Le diagnostic repose sur la liste des maladies rangées par spécialités et classées en BN et NB, BN 1 et BN 2, NB 1 et NB 2.
Pour le Pulsologue, cette liste est latéralisée sur un côté de l’écran (soins-numerises.com). la photo ou le Prénom est latéralisé de l’autre côté de l’écran. Aucun contact ne doit avoir lieu entre les deux dossiers (photo et liste de diagnostics).
Aucun contact ne doit avoir lieu entre les deux dossiers (Prénom ou photo du malade à G / liste de diagnostics au centre D).
De plus, le dossier du malade, vers lequel les différents remèdes reçoivent leurs copies, doit être centrifugé à l’extrême D, en bordure d’écran, en dehors de la liste des pathologies pour ne pas interférer dans la résonance centrale.
De l’usage du détecteur.
1/ Avec le détecteur-stylo S.T.A.R. 1, on survole les diverses pathologies de la spécialité incriminée pour cibler la maladie dont souffre le malade.
Il faut bien s’entendre sur le type de résonance qui se manifeste.
Il est nécessaire de se remémorer (site de Pulsologie / Réaction d’écart) que le remède ou le Motfilm de la Maladie n’est « favorable » que si le pouls réagit lors de l’écartement d’un médicament loin du corps ; alors qu’auprès, au contact, il est parfaitement silencieux.
Ce phénomène se manifeste ainsi lors des tests : le survol de la liste de médicaments, proche de la photo et via le stylo S.T.A.R, fait réagir le pouls de cette manière : au cœur d’une liste agitée de pulsations, se révèle une zone plus calme et au centre de cette zone se trouve une maladie ou un remède totalement silencieux, c’est lui l’élu, c’est lui le remède qui se manifeste « en creux », c’est un reflet de la réaction l’écart. Ce silence se perpétue.
2/ Avec le détecteur-stylo « Info-1et2 » dédié aux Motfilms globaux BN et NB.
Ces Motfilms représentent des information globales NON Fixes : ces remèdes, oscillants purs et durs, sont les seuls à avoir résisté à la notion de fixité, qui a été le fil rouge de toutes nos recherches.
En général ils se manifestent aussi en creux initialement, mais après 32 pulsations, ils répondent en relief, pendant aussi 32 P, puis retour en creux. Ceci signe leur nature oscillante pure.
Stylo détecteur pour femme malade.
Le stylo universel S.T.A.R. inversé de couleur est ici la référence pour déceler les résonances.
Cependant, même stylo « Info-1et2 » pour les substances ou les pathologies non fixes.
Mesure de la spiritualité humaine.
A propos des compositions musicales, nous avons écrit, dès la définition des champs informatifs : « La spiritualité du compositeur transcende mystérieusement la mélodie qu’il a composée…et dont une sérénité émane ». Cette spiritualité en effet se mesure via la pulpe du pouce.
Si le pouce regarde le centre d’un visage le pouls est apte à dénombrer un certain nombre de pulsations : 60P pour le visage de J-S Bach sont émises, 80P pour Allegri ou Luis de Victoria…
Ces mesures vont bien au-delà pour les Saints chrétiens : tous atteignent 120P !<
Etonnante particularité de cette spiritualité, elle peut être émise par les photos ou les prénoms de personnes depuis longtemps trépassées. Cette mesure n’a donc aucun rapport avec les études de résonances pathologiques.
A contrario, une « anti-spiritualité » existe. Celle des dictateurs, de Staline à Pol Pot obéit à ces mesures, à ceci près que ce n’est pas le centre du visage mais le halo de la tête qui, en regard du pouce, réagit : 50 à 60 P révèlent le degré de malignement de ces être endiablés qui gouvernent les peuples. Ils peuvent s’amender, se convertir et leur niveau de « spiritualité » s’améliorer.
La grâce de la spiritualité apparaît lors du baptême, encore doit-on l'activer, la faire fructifier.
Il est cependant attristant de signaler qu’une grande proportion d’âmes ne réagissent pas : aucune pulsation, ni au centre du visage ni en sa périphérie ne se manifeste.
Il existe aussi une spiritualité maléfique probable, ce qui expliquerait les mesures négatives de ces cruels dictateurs disparus.
Ces mesures sont conditionnées : la spiritualité centrale du sujet qui les réalise doit être égale ou supérieure à 1P. A noter que l’art de la Pulsologie a les mêmes exigences : outre son acuité tactile, la spiritualité du Pulsologue doit être égale ou supérieur à 1.
Thérapeutique
Le patient se place devant l’écran, à 40 ou 50cm, voire à 3 mètres s’il est alité.
Ce positionnement est assez arbitraire car le Motfilm émis par l’écran diffuse partout sans que son intensité ne diminue avec la distance.
Les Motfilms sont indiqués par le Pulsologue. Le malade, au diagnostic établi par son médecin, peut s’y exposer de lui-même.
Lors de l’Exposition, on recueille nombre de pulsations (20 à 200 P voire plus).
En début de traitement, selon la gravité des choses, l’Expo peut durer 15 minutes ou plus.
Mais au fil des jours, les Expos se renouvelant, le nombre des Pulsations initiales décroît.
Et quand aucune résonance n’est plus perçue, le malade est stabilisé pour un temps.
Le Motfilm de la « maladie » a un effet stimulant.
L’Exposition thérapeutique
Le Motfilm pathologique, adapté au malade, s’affiche sur l'écran de manière visuelle.
Il est statique, immobile ; il envoie, via les champs EM porteurs de l’écran, une information spécifique nominée.
Pour chaque maladie, un Motfilm est proposé qui cible de manière directe la pathologie en cours de traitement.
Plusieurs Motfilms de substances médicinales sont souvent nécessaires (cas du Covid). Infectiologie et antibiotiques ; complications Cardio-vasculaires, Système nerveux central, Rhumatologie.
Dès le début de l'exposition le pouls bat fortement (si le Motfilm est bien ajusté, opportun). Pendant la durée d’imprégnation de l’organisme, de forts battements du pouls se manifestent ; quand le pouls est enfin calmé, l’expo peut être arrêtée.
En pratique, le malade se place devant l’écran. Devant chaque Motfilm, il s’expose une ou deux fois par jour, pendant une minute les deux premiers jours, puis 30 secondes après.
Si aucune amélioration clinique ne se produit à l’issue d’une cure de cinq jours, on peut tout suspendre, le Motfilm n’est pas adapté ou bien insuffisamment accompagné.
La thérapie surveillée par le Pulsologue.
Sur le plan thérapeutique, le praticien peut évaluer, via son propre pouls, l’effet du Motfilm sur le malade en 3D et sa durée informative.
Son propre pouls décèle par la force et le nombre de ses battements l’intensité de la pathologie dont souffre le malade ; ceci suppose que le praticien est à peu près neutre, qu’il n’interfère que peu avec son patient.
Tout praticien sachant prendre le pouls radial est apte à apprécier la force des pulsations.
Tout clinicien évoquant un diagnostic peut contrôler, par là même, son intuition ; cela étant, si le Motfilm est très indiqué, très propice au malade, la présence du praticien est négligeable.
Allergies, stupéfiants, Homéopathiques.
1/ Prenons le cas des allergènes
Le diagnostic se réalise facilement en ayant recours à la notion de réaction « Contact-Ecart ». En l’occurrence, à gauche sur l’écran, le Prénom du malade ou de sa photo (agrandis) se superpose un peu au dossier des allergènes situé au centre droit, ce qui établit le contact.
Le détecteur pointe immédiatement le groupe majeur puis dans ce groupe ouvert l’allergène majeur qui pulse fortement en travers.
Les allergènes sont à la fois BN et NB, globaux. Chacune des deux listes est dédoublée afin de les raccourcir. Ils sont tous biologiquement plus ou moins nocifs selon les sujets qui s’y exposent.
La thérapeutique : au départ nous avions recours à l’ensemble « allergie-à-l ’armoise » par exemple ; mais les résultats n’étaient pas probants.
Actuellement nous utilisons une THD homéopathique, impossible à réaliser en pharmacie, mais faisable en numérique : 1Million de CH ou « 1000M-CH » ; nous réalisons donc un Motfilm « Armoise-1000M-CH ». Et ce Motfilm est très puissant au niveau du pouls.
2/ Cette même technique s’étend à la lutte contre les stupéfiants.
3/ Elle est aussi indispensable pour un bon nombre de médicaments Homéopathiques, ceux qui sont baptisés « polychrestes ». Issus de plantes nocives ou de venins, ils sont de nature BN et NB également.
Ces polychrestes, super homéopathiques, ont été élus grâce à un stylo particulier : « Substance-pulsante-centre-halo ». Ce stylo survolant les grandes listes de remèdes en 12CH, ont découvert des substances « en creux » - silencieuses au sein de colonnes oscillantes. Ces substances recouvraient les noms de polychrestes, établis par les homéopathes d’antan. Tous, très dilués en 1000M-CH, les polychrestes ont été rassemblés dans des listes spécifiques BN et NB, isolées des autres homéopathiques en 12CH qui, eux se répartissent en 4 groupes.
Les causes d’échecs.
-Un diagnostic inexact.
-Un Pouls toxique (pulsations actives en travers et continuelles). Un patient qui arrive en voiture est pollué par le champ magnétique de l’alternateur du moteur. Je l’expose en priorité, dès son arrivée, à la Labradorite, pour calmer son pouls, avant de poursuivre tout examen.
Une intoxication alimentaire ou médicamenteuse : dans ce cas il faut exposer aussi le patient à la Labradorite dépolluante (en tête des rubriques) avant d’entamer toute exposition du malade pour contrôler son diagnostic et sa thérapie
Ces dépollutions s’imposent quand on veut déterminer la pertinence des remèdes que le patient absorbe ; si réaction d’écart nette et dénombrée ils sont favorables, si réactions de contact (contre le sternum), les médicaments sont nocifs. Si aucune réaction, ni à l’écart ni au contact, la substance est neutre donc inutile… mais elle peut aussi avoir été absorbée à la très bonne posologie.
Assez souvent, le remède bien choisi par le Pulsologue est le bon. Mais certains malades préfèrent une prescription délivrée par le pharmacien.
-Le seul Motfilm d’une maladie a presque toujours besoin d’autres Motfilms pharmacologiques d'appoint – voir site de remedes-numeriques.com.
Effets secondaires.
Un Biofilm mal indiqué serait-il apte à induire des effets secondaires ? Si l’indication est mauvaise, l’exposition-test ne donne aucune résonance.
Il n’y a plus qu’à essayer
Saisissons bien que ce n’est pas l’image elle-même qui agit mais les champs informatifs transférés par elle, via l’écran. De même que ce ne sont pas les mains du magnétiseur qui soignent mais le « fluide », le Biochamp que ses doigts dégagent. Pour illustrer ces soins digitalisés, les « soins numérisés » vous sont donc proposés.
Ce site de recherches est voué aux mises à jour. D’où sa gratuité.
Dr Jean-Claude Toureng
2 / English patch
INFORMATION FIELDS
(Digitalised Treatments)
Update 2025 04 17
The Digital Care that we offer on a self-service basis is easy to use. They are based on the patient's exposure to specific information fields emitted by a PC screen.
In front of a "Biofilm", or biological field, the pulse begins to beat forcefully (without accelerating) if the informative program it carries is beneficial to the patient. The study of these fields is based on Nogier's Pulse: www.pulsologie.com.
These treatments are complementary to conventional treatments. They are part of the "Conscious Therapies", like Gregorian chants. .
Informative Fields: Definition.
These immaterial fields therefore emanate from all living beings.
The beneficial effect of bird or insect songs, via audio recordings, on arboriculturists' plantations is well known, they help to counter the evil effects of the phytosanitary products that the neighboring arborists use. The violins of Bach's music have a similar favorable result.
Certain musical compositions, the works of Allegri, Tomas Luis de Victoria, Pergolesi, Palestrina or Monteverdi, for example, are also capable of inducing great serenity. The spirituality of the composer mysteriously transcends the melody, even if the spirituality of its interpreter leaves something to be desired.
The homeopathic granules in high dilution, which are freed from any material outside their support (granules), also emit informative fields.
These fields are not isolable in their pure state, but the electromagnetic carrier fields strengthen them. The CPs testify to these biological Infofields through the clinical effects that accompany the exposure of patients to the appropriate Biofields.
The acupuncture point emanates from the skin. For a century, no microscope has been able to reveal the slightest skin structure suggestive of an acupuncture point, and yet they exist, as the pulse attests. And, if properly targeted, acupuncture is very effective.
We are entering a "non-scientific" world since no modern technical approach is able to grasp these irrational phenomena that come from the dawn of time (acupuncture) and that are free from any scientific reality.
These informative fields escape us since they cannot be captured in isolation, nor recorded on paper or let themselves be seen. They go against the scientific method, which is limited to "visual" observations, verifiable, reproductive, and non-refutable.
The information fields emanate from an invisible reality; they are only detected in a "tactile" way via the palpation of the radial pulse and the entire arterial tree.
Already in 1943, Professor René Leriche had noticed an inexplicable phenomenon in one of his patients whom he had operated on for an arteriovenous aneurysm of the femoral region. The isolated but still dilated artery reacted, to the naked eye, to faint distant cutaneous stimuli ; it evoked the existence of a "cutaneous-vascular reflex"; this phenomenon foreshadowed the future Pulse of Paul Nogier.
For my part, as an extern at the Hôtel-Dieu Hospital in Paris, and in charge (in 1960) of studying the pulse of a patient with a myocardial infarction, I had noted the jolts of this pulse when the nurse had come to place a mercury thermometer in contact with the patient's bed; the toxicity of mercury by conduction was the stimulus; but I was too young to understand.
These informative fields proceed from Life, but also, in an extraordinary way, from the Word and from each MOT.
Links between EM Fields and Biological Fields..
Let us start with the work of J. Benveniste and that of Prof. L. Montagnier, his extender. These authors focused on EM fields. They considered that the encoded information was of a purely EM nature.
Our conception differs. The information fields, in which living beings are bathed, are upstream of the carrier EM fields. EM fields are only the support for information fields.
Favorable biological fields.
Natural, pure, and favorable biological fields are clearly identifiable in nature. They are at the origin of these isolated trees, which come from nowhere and are landmarks in certain desolate or even desert regions.
These biological fields are also found in the middle of the meadows in the form of circles (called witches' circles). The grass is much greener and taller than in the centre or on the periphery; There are also mushroom circles (mushrooms), nicknamed "witches' rings".
We have managed to highlight these informative fields. They are part of Nogier's pulse: they are therefore the result of a clinical approach (which escapes AI) because they are based on palpation.
Diseases enhanced by biological fields.
Our study consisted of identifying and listing, via the pulse, the informative fields capable of correcting a certain number of common pathologies of varying severity.
Originally, these biological fields were derived from pathological tissues, and chemical pharmacological substances, as long as their name was well defined.
Among the common pathologies, based on informative fields derived from themselves, some are easy to treat by exposure.
Comment agissent ces champs informatifs ? It is very difficult to account for them; we think that they act by stimulating a disordered substrate, but which one?
Oncological pathologies (cancers) are also part of our field of action ; on the "remedes-numeriques.com" site of the "Infofilms" we offer many (recent) digital drugs in order to be able to choose, via the pulse, the best targeted remedies, the most suitable for the affected individual . This offer remains totally potential; What oncologist would come to "go astray in such connivance" without risking his reputation?
Genetic abnormalities are moving away from our field. Of course, their biofilms allow us to make a diagnosis, or even to stimulate genes.
Between sinusitis, mild flu and more chronic pathologies, there are many degrees. There is also a difference between compensated diseases (the patient defends himself) and decompensated diseases (the body loses its footing).
The exhibitions we propose will therefore be more or less effective and will have to be continued for a longer or shorter time, but, let's face it, some Infofilms are "encouraging". Our role is to support the treatments already in place.
Of course, in chronic cases, the pathological nature reasserts itself and a new exposure to favorable biofilms is necessary.
We do not claim to cure but to relieve certain diseases. In all humility, as in all research, we are on an unmarked path not exempt from wandering.
The Word-Fields
The Word proceeds from the Living and the Living proceeds from the WORD, whatever the language, as long as the Word carries and supports a specific entity. The informative fields also come from the Word and each MOT. This is a mutation of our research.
Our previous Biofilms emanated from a zoomed-in central point.
This point was presented as the "core" of the Audio Bandwidth or any pathological image photo. He was spotted with a particular detector. Its amplification (zoom) was supposed to marginalize the surrounding image in favor of this nucleus. And it brought me significant but quite fluctuating therapeutic results...
Then we moved on to the well-framed Word. The photo of a measles, for example, was replaced by the word "Measles". With astonishment we found that this word also had a focus, a central point, which could be exploited as above. We were only intrigued to note that this focus did resonate when a detector flew over it, but that quite often, for other Words, the resonance was "halo" as if in relation to a hollow point (pseudo-resonance) ... I was led to question the propriety of my detector pens, and was led to a natural detector: the tip of my Medius.
Leading biological detector: the Médius (or Middle Finger)
I then came back to the biological detector that I had described, a long time ago, about the checkerboard division of 32 skin fields of the body. The Median of my hand D has this ability, at its extremity, to summarize the 4 basic fields of the cranial checkerboard ; the same is true of the Medius G and the medial toes.
The Checkerboards
The capacities of the medium, linked to its distribution in 4 skin fields, invited me to extend this idea of skin fields to the benefit of the words of diseases or medicine.
The 16-field checkerboard BN1 and BN2
It therefore originates s from the fact that the anterior surface of the body is divided into 16 fields
Skin.
These checkerboarde are NB: it is the two black-white squares from the bottom that define it.
These checkerboards hardly oscillate, they are generally fixed and silent, via the tip of the middle finger ; but this represents an exception if the nose of the Pulsologist is perfectly in the plane of the vertical axis of the checkerboard;
If his nose is slightly D or G from the vertical axis, he picks up a small oscillation (between 4 and 6 beats)
But if it is frankly at D or G, or if the checkerboard is lateralized to L (or R) of the screen, the fixity is rigorous; the Pulsologist no longer interferes via his own skin fields.
We therefore evoke the hypothesis that there is congruence between these 16 boxes and the 16 anterior skin fields of the body of the Pulsologist facing the PC screen.
The study of this lateralized checkerboard is very interesting.
Lateralized to G of the screen, as I usually do, any checkerboard of a disease or a medicinal substance behaves in two spontaneous ways: either it triggers strong pulsations in the pulse (P across) or it remains silent.
This behavior is the same if the checkerboard is lateralized to D of the screen.
1/ The pulse manifests itself spontaneously, without the intermediary of the middle finger or a detector.
The silent form is transformed into a pulsating form by simply inverting the colour. The spontaneous pulsating checkerboard is our main criterion for definition. The checkerboards of Pathologies or drugs are therefore classified into pulsating BN and NB.
2/ Let us now call upon the Medius. Positioned in the center of the checkerboard crossing, the middle finger causes the pulse to react in two ways: either a strong pulsation is felt in the center: it characterizes the BN 1 checkerboard such as "Codenfan" or the NB 1 checkerboard ; or the pulsation is felt on the entire checkerboard except in the center, this defines the BN 2 checkerboards such as "Symbicort" or the NB 2 checkerboard.
Finally, biological substances seem to be divided into 4 groups.
The BN Global 16-field checkerboard
This is the third type discovered of the checkerboard. This is neither BN1 nor BN2 but "global" BN. The middle finger in flight makes the center, the checkerboard and the periphery of the checkerboard resonate at the same time.
This kind of checkerboard very often characterizes the best drugs of a specialty as well as remedies in THD, (very high homeopathic dilution) in 1000M-CH.
Of course, there are also 3 kinds of opposing checkers, NB1, NB2, NB global.
In total, the remedies are grouped into 6 groups.
These 6 groups are found in pathology, but the overall forms are rarer.
THE SICK MAN AND HIS 2 PERFORMANCES
It can manifest itself via his photo (head and neck) sent by email or WhatsApp.
It is also possible to put it in a word form: "First Name-N."
First Name-N.
To be in harmony with the checkerboard lists of medications, this First Name-N. must undergo, via Paint, a "checkerboard layout" itself and in a coherent way in 16 boxes:
The first name is usually in the form NB.
The photo
The direct "face-neck" photo is naturally in the form of 4 basic fields, it is of the NB type.
The Real Patient
It has no place in our screen tests because it is not in 2D but in 3D, which would promote interference with the Pulsologist. On the other hand, it finds its place in the control of the test results (during exposure).
The Audio patient is an exception
The patient can indeed call you. And your speaker plays a 1D Mono message. As long as he is on the other end of the line, even without speaking, the presence of the patient in front of his microphone is enough to transmit to you the biological and pathological information of his whole being. It 's as prodigious as it is hallucinatory. In this circumstance, the 3D Pulsologist does not interfere.
This makes it possible to measure the effect of a treatment remotely via the pulse.
Specificity of the resonance between a photo and a substance
The specificity of the
word itself is that it can be composed : "generic-specialty". If ever there is an error on one of them, misalliance, the middle finger no longer perceives the central point. Example:
This Ventolin-Becotide mix is a kind of chimera. The flyover of the middle finger induces TTTT pulsations over its entire surface. unprecedented!
On the other hand, the
generic name or that of a medicinal product resonates perfectly with both the
photo of the capsules of the drug, and with the photo of its
packaging bearing its name.
Simple experiment: display on the PC the name of the drug at G on the screen (Salbutamol) and the photo of the same drug at D (Ventolin), without contact of the images; the remote hover with the Middle D reveals the strong resonance that unites the two images; if one of them is removed from the screen, any resonance with the pulse disappears; it vanishes, also, when the Name does not correspond to the image.
How to proceed with the PC
Warning: I have a PC with a wired keyboard and screen. No tests with a wireless mouse or keyboard connecting to the PC have been tested so far.
We know that the Patient's Name in 16 boxes is written – via Paint – on one side of the screen. .
The list of pathologies is chosen according to the type of disease (the specialty). The list of diseases is displayed contralaterally on the screen.
The choice of detector pen
1/ Le stylo universel S.T.A.R. et son alter ego, inversé de couleur, sont devenus des références majeures. Le premier sert de détecteur pour les malades masculins et le second pour les féminins.
2/ The "Info-1et2" pen is new. It allows tests on pathologies or global BN or NB remedies.
3/ There are other pens reserved for Pulsologists that allow you to target the checkerboards of the BN (1 and 2) and NB groups, either to target groups 1 (BN or NB) and 2 (BN or NB)... These 4 pens are more handy than the medium one. They are essential to control the classifications into 4 groups by checking the absolute absence of intruders from a poorly defined checkerboard.
The substances in the running are flown over with the tip of the pen.
Realization of the induced pen: the pen is a simple plasticized pencil, held in the right hand, which, placed in front of the Wordfilm or the image of the S.T.A.R., takes care of the information after one minute of exposure. This induction should be repeated once a day or every other day depending on usage.
These different pens can be identified by the different colors of the plastics.
Diagnosis of Pathology in the Absence of the Patient
The practitioner cannot test remedies directly on the patient in 3D because, in this case, informative interference would occur with himself in 3D.
If the Pulsologist is looking for a Diagnosis for himself, he must also enter his First Name-N in 2D, for consistency, to respect the list of pathologies in 2D. His 2D photography is also coherent.
The mystery of the First Name
As we have just seen, the patient can be replaced as much by his photo as by his "First Name-Last Name".
What is very striking is this: the First Name-N. is not dated! Everything happens as if time did not exist! Three months apart, the same patient can be a carrier of two different conditions; however, the chosen remedies will be in line with the patient's updated state of health, represented by his or her N-First Name, on which Pulsology focuses. Since no photo can testify to past affections, it is still possible to go back by adding the previous date of the former pathology to the photo or first name file.
It goes against the scientific approach which requires the repetitiveness of all experiments and the reference to time.
This is not a thought experiment; I would rather evoke an experiment of consciousness, because it can only succeed if the bearer of the First Name-N (or his photo) is alive: in fact, the checkerboard of the First Name (with 4 or 16 fields) of a deceased person remains silent in relation to the middle finger or lateralization, at G of the screen, of its checkerboard and does not enter into any pathological or medicinal resonance! Thus, the cause of death is not accessible.
On the other hand, the photo or checkerboard of a living person is suitable for any pulsological investigation, even if this person lives at the antipodes of the earth.
In short, we can touch with our fingers the Transcendence, and therefore the two Worlds.
.
How to use Digitalized Care.
Diagnosis
The Disease
The diagnosis is based on the list of diseases classified by specialty and classified into BN and NB, BN 1 and BN 2, NB 1 and NB 2.
For the Pulsologist, this list is lateralized on one side of the screen (soins-numerises.com). the photo or first name is lateralized on the other side of the screen.
No contact must take place between the two files (first name or photo of the patient at G / list of diagnoses at the D centre).
In addition, the patient's file, to which the various remedies receive their copies, must be centrifuged at extreme D, at the edge of the screen, outside the list of pathologies so as not to interfere with the central resonance.
Of the use of the detector.
1/ With the S.T.A.R. detector-pen 1, we review the various pathologies of the offending specialty to target the disease from which the patient suffers.
We have to agree on the type of resonance that is manifested.
It is necessary to remember (Pulsology site / Deviation reaction) that the remedy or the Wordfilm of the Disease is "favorable" only if the pulse reacts when a drug is moved away from the body; whereas on contact, it is perfectly silent.
This phenomenon manifests itself in the tests: the cursory glance at the list of medications, close to the photo and via the STBR pen, causes the pulse to react in this way: in the middle of a hectic list of pulses, a calmer area is revealed and in the center of this area is a completely silent disease or cure, He is the chosen one, he is the remedy that manifests itself "in the background", it is a reflection of the reaction to the gap. This silence continues.
2/ With the "Info-1et2" pen detector dedicated to the BN and NB global Motfilms.
These Wordfilms represent global information NOT Fixed: these remedies, pure and hard oscillating, are the only ones to have resisted the notion of fixity, which has been the common thread of all our research.
In general, they also appear in hollow form initially, but after 32 pulses, they respond in relief, also for 32 P, then back in hollow. This is a sign of their pure oscillating nature.
Detector pen for sick women
.
The S.T.A.R. The inverted color is here the reference for detecting resonances.
However, the same "Info-1et2" pen is used for non-fixed substances or pathologies.
Measure of human spirituality
.
On the subject of musical compositions, we have written, as soon as the informative fields were defined: "The spirituality of the composer mysteriously transcends the melody he has composed... and from which a serenity emanates". This spirituality is measured via the pulp of the thumb.
If the thumb looks at the center of a face, the pulse is able to count a certain number of pulsations: 60P for the face of J-S Bach are emitted, 80P for Allegri or Luis de Victoria...
These measures go far beyond that for Christian Saints: all reach 120P!
An astonishing particularity of this spirituality is that it can be emitted by the photos or first names of people who have long since died. This measurement is therefore unrelated to pathological resonance studies.
On the other hand, an "anti-spirituality" exists. That of the dictators, from Stalin to Pol Pot, obeys these measures, except that it is not the center of the face but the halo of the head that, in relation to the thumb, reacts: 50 to 60 P reveal the degree of malignancy of these frenzied beings who govern the peoples. They can mend their ways, convert and their level of "spirituality" improve.
The grace of spirituality appears at baptism, but it must be made to bear fruit.
It is saddening, however, to report that a large proportion of souls do not react: no pulsation, neither in the center of the face nor in its periphery, is manifested.
There is also a probable evil spirituality, which would explain the negative measures of these cruel departed dictators.
These measures are conditional: the central spirituality of the subject who performs them must be equal to or greater than 1P. It should be noted that the art of Pulsology has the same requirements: in addition to its tactile acuity, the spirituality of the Pulsologist must be equal to or greater than 1.
Therapeutic
The patient places himself in front of the screen, 40 or 50 cm away, or even 3 meters away if he is bedridden.
This positioning is quite arbitrary because the Wordfilm emitted by the screen broadcasts everywhere without its intensity decreasing with distance.
The Motfilms are indicated by the Pulsologist. The patient, according to the diagnosis made by his doctor, can expose himself to it.
During the Exhibition, a number of pulsations are collected (20 to 200 P or more).
At the beginning of the treatment, depending on the severity of things, the Expo can last 15 minutes or more.
But as the days went by, as the Expos were renewed, the number of initial Pulsations decreased. And when no resonance is perceived, the patient is stabilized for a time.
The Wordfilm of "illness" has a stimulating effect.
Therapeutic Exposure
The pathological Wordfilm, adapted to the patient, is displayed on the screen visually.
It is static, immobile; it sends specific information via the screen's load-bearing EM fields.
For each disease, a Wordfilm is proposed that directly targets the pathology being treated.
Several Wordfilms of medicinal substances are often necessary (case of Covid). Infectiology and antibiotics; Cardiovascular complications, Central nervous system, Rheumatology.
From the beginning of the exhibition, the pulse beats strongly (if the Motfilm is well adjusted, opportune). During the period of impregnation of the organism, strong beats of the pulse are manifested; When the pulse is finally calmed down, the exhibition can be stopped.
In practice, the patient places himself in front of the screen. In front of each Motfilm, he exposes himself once or twice a day, for one minute the first two days, then 30 seconds later.
If no clinical improvement occurs at the end of a five-day treatment, everything can be suspended, the Motfilm is not adapted or insufficiently accompanied.
Therapy monitored by the Pulsologist.
On the therapeutic level, the practitioner can evaluate, via his own pulse, the effect of the Wordfilm on the patient in 3D and its informative duration.
His own pulse detects by the force and number of its beats the intensity of the pathology from which the patient suffers; this supposes that the practitioner is more or less neutral, that he interferes only slightly with his patient ; this being so, if the Wordfilm is very appropriate, very conducive to the patient, the presence of the practitioner is negligible.
Any practitioner who knows how to take the radial pulse is able to appreciate the strength of the pulsations.
Any clinician who evokes a diagnosis can thereby control his intuition.
Allergies, narcotics, homeopathics.
1/ Let's take the case of allergens
The diagnosis is easily carried out by using the notion of "Contact-Gap" reaction. In this case, on the left side of the screen, the patient's first name or photo (enlarged) is slightly superimposed on the allergen file located in the right-hand centre, which establishes contact.
The detector immediately points to the major group and then in this open group the major allergen which pulsates strongly across.
The allergens are both BN and NB, global. Each of the two lists is split in order to shorten them. They are all biologically more or less harmful depending on the subjects who are exposed to them.
Therapeutics: at the beginning we used the "mugwort allergy" set for example; but the results were not conclusive. Currently we use a homeopathic superfast fast, which is impossible to make in a pharmacy, but can be done digitally: 1 Million CH or "1000M-CH"; we are therefore making a Motfilm "Mugwort-1000M-CH". And this Motfilm is very powerful in terms of the pulse.
2/ This same technique extends to the fight against drugs.
3/ It is also essential for a good number of Homeopathic medicines, those called "polychrests". Derived from noxious plants or venoms, they are also BN and NB in nature.
These polychrests, super homeopathic, were chosen thanks to a particular pen: "Substance-pulsating-center-halo". This pen, flying over the great lists of 12CH remedies, discovered substances "in hollow" - silent within oscillating columns. These substances covered the names of polychrests, established by the homeopaths of yesteryear. All of them, very diluted in 1000M-CH, the polychrests have been grouped in specific BN and NB lists, isolated from the other homeopathic ones in 12CH which are divided into 4 groups.
Causes of failure.
-An inaccurate diagnosis.
-A toxic pulse (active pulsations across and continuous). A patient who arrives by car is polluted by the magnetic field of the engine alternator. As soon as he arrives, I expose him to Labradorite, to calm his pulse, before continuing any examination.
Food or drug poisoning (supra): in this case, the patient must also be exposed to the depolluting Labradorite (at the top of the headings) before starting any exposure of the patient to check his diagnosis and therapy
These decontaminations are necessary when it is necessary to determine the relevance of the remedies that the patient absorbs; if the reaction of clear deviations and counts are favorable, if contact reactions (against the sternum), the drugs are harmful. If there is no reaction, neither on the sidelines nor in contact, the substance is neutral and therefore useless... but it may also have been absorbed at the very right dosage.
Quite often, the remedy well chosen by the Pulsologist is the right one. But some patients prefer a prescription issued by the pharmacist.
-The only Wordfilm of a disease almost always needs other pharmacological Wordfilms to supplement – see remedes-numeriques.com website.
Effects.
Would an ill-indicated biofilm be able to induce side effects? If the indication is poor, the test exposure gives no resonance.
Of course, exposure to a pathogenic germ in the acute phase aggravates; but as a preventive measure, it vaccinates.
All you have to do is give it a try
Let us understand that it is not the image itself that acts but the information fields transferred by it, via the screen. In the same way, it is not the hands of the magnetizer that heal, but the "fluid", the Biochamp that his fingers release. To illustrate this digital care, "digital care" is therefore proposed to you.
This research site allows for updates. Hence it's free.
Dr Jean-Claude Toureng