CHAMPS BIOLOGIQUES
2024 09 09
Mise à jour
1/ Français :
Les Soins Numérisés que nous proposons en libre-service sont simples d’emploi. Ils reposent sur l’exposition du malade à des champs informatifs propres émis par l’écran d’un PC.
Devant un Biofilm, un "Infofilm", qui est un programme de champ biologique bénéfique, le pouls se met à battre avec force (sans s’accélérer). L'étude de ces champs repose en effet sur le Pouls de Nogier: www.pulsologie.com.
Ces soins sont complémentaires des traitements classiques. Ils entrent dans le cadre des « Thérapies Spirituelles » à l’instar des chants grégoriens.
Champs Informatifs : définition.
Ces champs immatériels émanent donc de tous les êtres vivants
Ils s’apparentent aux champs informatifs comme ceux émis par les granules homéopathiques en haute dilution, qui sont affranchis de toute matière hors leur support (granules).
Ces champs ne sont pas isolables à l’état pur mais les champs électromagnétiques porteurs les renforcent. Les interfaces de PC témoignent de ces Infochamps biologiques à travers les effets cliniques qui accompagnent les expositions des malades aux Biochamps spécifiques.
De la peau émane le point d’acupuncture. Depuis un siècle aucun microscope n’a pu révéler la moindre structure cutanée évocatrice d’un point d’acupuncture et pourtant ils existent, le pouls en fait foi.
Certaines compositions musicales, les œuvres d’Allegri, de Tomas Luis de Victoria, de Pergolèse, de Palestrina ou de Monteverdi, par exemple, sont également aptes à induire une grande sérénité.La spiritualité du compositeur transcende mystérieusement la mélodie, même si la spiritualité de son interprète laisse à désirer.
Nous entrons de plain-pied dans un monde « hors-scientifique » dès lors qu’aucune approche technique moderne n’arrive à appréhender ces phénomènes qui viennent de la nuit des temps (acupuncture) et qui méconnaissent la pensée rationnelle.
Ces champs informatifs nous échappent puisqu’ils ne peuvent être captés isolément, ni enregistrés sur papier ou se laisser voir. Ils vont à l’encontre de la réalité scientifique, limitée aux observations « visuelles », vérifiables, reproductives, non réfutables.
Les champs informatifs émanent d’une réalité invisible; ils ne sont décelés que de manière « tactile » via la palpation du pouls radial et de tout l’arbre artériel.
Déjà en 1943, le Pr René Leriche avait noté un phénomène inexplicable chez un de ses malades qu’il avait opéré d’un anévrysme artérioveineux de la région fémorale. L’artère isolée mais encore dilatée réagissait à l’égard de stimuli divers ; il évoquait l’existence d’un « réflexe cutanéo-vasculaire » ; ce phénomène annonçait le futur Pouls de Paul Nogier.
Pour ma part, externe à l’Hôpital de l’Hôtel-Dieu, et chargé (en 1960) de l’étude du pouls d’un malade porteur d’un infarctus myocardique, j’avais noté les soubresauts de ce pouls quand l’infirmière était venue placer un thermomètre à mercure au contact du lit du malade ; la toxicité du mercure par conduction en était le stimulus ; mais j’étais trop jeune pour comprendre.
Ces champs informatifs procèdent de la Vie, mais aussi, de manière extraordinaire, du Verbe et de chaque MOT.
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Liens entre Champs EM et Champs Biologiques.
Partons des travaux de J. Benveniste et de ceux du Pr L. Montagnier, son prolongateur. Ces auteurs se sont focalisés sur les champs EM. Ils considérèrent que l’information encodée était de nature purement EM.
Notre conception diffère. Les champs informatifs, dans lesquels les êtres vivants baignent, sont en amont des Champs EM porteurs. Les champs EM ne sont que le support des champs informatifs.
Champs biologiques favorables.
Parmi les champs biologiques, véhiculés par les champs EM, s’en trouvent des bénéfiques. Tout dépend de la famille de ces champs, de leur origine et des sujets qui les reçoivent.
Les champs biologiques purs et favorables sont bien identifiables dans la nature. Ils sont à l’origine de ces arbres isolés, issus de nulle part et qui font repère dans certaines régions désolées voire désertiques.
On retrouve aussi ces champs biologiques au milieu des prairies sous forme de cercles (dits de sorcière). L’herbe est bien plus verte et plus haute qu’au centre ou en périphérie ; il y a aussi les cercles de champignons (mousserons), surnommés "ronds de sorcières".
Nous sommes parvenus à mettre en avant ces champs informatifs.Ils relèvent du pouls de Nogier : ils résultent donc d’une approche clinique..
Maladies améliorées par les champs biologiques.
Notre étude a consisté à repérer, répertorier, via le pouls, les champs informatifs aptes à corriger un certain nombre de Pathologies courantes plus ou moins sévères.
A l’origine, ces champs biologiques enregistrés étaient issus de tissus pathologiques, et de substances pharmacologiques chimiques, (voir www.remedes-numeriques.com ) dès lors que leur Nom est bien défini.
Parmi les pathologies fréquentes, certaines sont faciles à traiter par exposition via leurs propres champs informatifs..
Comment agissent ces champs informatifs ? Il est fort difficile d’en rendre compte ; d’une manière générale nous pensons qu’ils agissent par stimulation d’un substrat déréglé, par réinformation synchronisante.
Les pathologies oncologiques (cancers) sont aussi de notre ressort ; nous proposons, sur le site « remedes-numeriques.com » des « Biofilms » ou « Infofilms » de nombreux médicaments numériques (récents et onéreux) afin de pouvoir choisir, via le pouls, les remèdes les mieux ciblés, les plus adaptés pour l'individu atteint. Cette offre reste totalement potentielle ; quel oncologue viendrait se fourvoyer dans une telle connivence sans risquer sa réputation ?
Les anomalies génétiques s’éloignent de notre domaine. Certes leurs Biofilms nous permettent de poser un diagnostic, voire de stimuler les gènes.
Entre une sinusite, une grippe bénigne et des pathologies plus chroniques, il y a de nombreux degrés. Il y a aussi une différence entre les maladies compensées (le malade se défend) et les décompensées (l’organisme perd pied).
Les expositions que nous proposons seront donc plus ou moins efficaces et devront être poursuivies plus ou moins longtemps, mais, disons-le, certains Infofilms sont « encourageants ». Notre rôle est d’étayer les traitements déjà instaurés mais aussi de les préserver.
Certes dans les cas chroniques, la nature pathologique reprend ses droits et une nouvelle exposition aux Biofilms favorables s’impose. Nous ne prétendons pas guérir mais soulager souvent certaines maladies.
Les Motchamps
Le Mot procède du Vivant et le Vivant procède du MOT, quelle que soit la langue, dès lors que le mot porte et soutient une entité précise.
Les champs informatifs procèdent aussi du Verbe et de chaque MOT. Ceci est une mutation de notre recherche.
Nos précédents Biofilms émanaient d’un point central zoomé.
Ce point se présentait comme le « noyau » de la Bande passante audio ou de toute photo d’image pathologique. Il était repéré avec un détecteur particulier. Son amplification (zoom) était censée marginaliser l’image environnante au profit de ce noyau. Et il m’apporta des résultats thérapeutiques encourageants mais fluctuants...
Puis nous sommes passés au Mot bien cadré. La photo d’une rougeole par exemple fut remplacée par le mot « Rougeole ».. Avec étonnement nous avons constaté que ce mot avait lui aussi un foyer, un point central, qui pouvait être exploité comme ci-dessus. Nous avons seulement été intrigués de noter que ce foyer résonnait bien au survol d’un détecteur mais qu’assez souvent, pour d’autres Mots, la résonance se faisait « en halo » comme en regard d’un point en creux (pseudo-résonance) … Ceci m’amena à m’interroger sur la convenance de mes stylo-détecteurs.
Détecteur biologique de premier plan : le Médius
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J’en revins alors au détecteur biologique que j’avais décrit, il y a bien longtemps, à propos de la division en damier de 32 champs cutanés du corps. Le Médius de ma main D a cette capacité, à son extrémité, de résumer les 4 champs basiques du damier crânien ; il en va de même du Médius G et des médius des orteils.
Le Mot noir sur blanc
En approfondissant l’analyse, le Mot-cadré émet, quatre champs internes : L = pulsation en Long, T = en Travers, ligne supérieure D = pouls en biais, supérieure G en biais inversé.
Mais ce mot se caractérise par son état oscillant. Pour l’angle droit inférieur par exemple, les 6 pulsations L (en long) sont suivies de 6 pulsations T (en travers). Les 3 autres angles se métamorphosent simultanément ; puis retour à l’état initial.
Cet état oscillant et lancinant est un problème que nous avons dû REPRENDRE
Chaque mot est divisible en 4 champs internes via le médius.
L’Idée nous est venue alors de transférer au Mot une structure à 4 champs, celle qui correspond au damier cutané, comme celui, vu ci-dessus, représentant le sommet de la tête.
Cette conformation nous offre un damier en 4 cases dont les surfaces internes sont spéciales.
En partant en haut à gauche et dans le sens horaire, nous avons un aspect BNBN (blanc-noir-blanc-noir).
Le centre du mot, qui est défini par le croisement des deux lignes, résonne initialement sous la pointe du Médius, puis devient silencieux aux dépens du Halo : il y a encore oscillation.
Cette résonance du halo va croissant au fur-et-à-mesure que l’on s’éloigne du point central puis se réduit ensuite lors du retour au point central.
On dirait que l’ensemble » centre-halo » pulse comme un cœur.
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Le Damier inversé
Le Mot BNBN est devenu NBNB grâce à Paint.
En regard du Médius, ce Mot révèle deux choses. Le centre du Mot pulse fortement. de manière transversale continue.
Et le Halo reste silencieux.
Le Mot en BNBN, qui pulse comme un cœur, est considéré comme biologique ; est-il favorable?
Le Mot en NBNB qui pulse en travers peut-il être considéré comme nocif ?
L’état oscillatoire des Mots BNBN n’est cependant pas résolu.
Les Damiers
Ce premier damier à 4 cases étant oscillant, nous avons procédé à une extension de cette notion de damiers.
Le damier à 16 champs BN
Il tire son origine du fait que la face antérieure du corps est divisée en 16 champs cutanés.
Miracle, ce damier n’oscille pas, il est vraiment fixe et silencieux.
Nous évoquons donc l’hypothèse qu’il y a congruence entre ces 16 cases et les 16 champs cutanés antérieurs du corps du Pulsologue qui fait face à l’écran du PC.
Ce damier à 16 cases, ou à 4 Mots, peut être abrégé en BN :ce sont les deux cases blanche-noire du haut.
Le damier à 16 champs NB
C’est un damier inversé de couleur.
Contrairement au damier BN qui pulse en long, le centre du damier NB pulse en travers.
Est-ce un signe de nocivité ? Eh bien non. Il signifie que ce damier représente la face postérieure du corps, il correspond à la « face cachée de la lune ».
Il existe donc deux types de damier : le BN caractérise une maladie ou un médicament dont l’action vise le corps antérieur et le NB spécifie une maladie ou un médicament visant le corps postérieur.
Il suffit de se reporter aux Organes pour comprendre ce phénomène : les damiers des organes antérieurs sont BN et les organes postérieurs (reins, vertèbres…) NB.
La « sciatique », affection postérieure, se présente sous forme NB et pulse de travers lors de son face à face avec le visage, l’avant du corps.
Analyse d’un malade porteur de sciatique. Lors de son exposition au Motfilm sciatique NB, la face antérieure de son corps pulse en travers, mais son dos pulse en Long et c'est ce qui importe..
Les Organes du corps
Une branche de l’homéopathie se dénomme Organothérapie.
Nous avons ainsi établi une liste des Organos en 30CH qui comporte 137 éléments.
Cette analyse nous permit de découvrir que tous les organes antérieurs du corps (les seins) relevaient des damiers BNBN et que tous les organes postérieurs (les reins) relevaient des damiers NBNB.
A la réflexion, il existe une réelle opposition des 16 damiers cutanés antérieurs et des 16 postérieurs.
Damier à 32 champs cutanés
Cette distinction dans l’espace des Mots d’organes avant et arrières nous conduit vers une extension plus générale : toutes les pathologies et toutes les substances médicinales postérieures NB doivent être signalées et regroupées.
Les pathologies et les médicaments essentiellement postérieurs.
Pour approfondir le mode de dépistage des éléments NB postérieurs, se rapporter au site de pulsologie-biophysique.com. /Chap. 31.
LE MALADE ET SES 2 REPRESENTATIONS
Il peut se manifester via sa photo (tête et cou) envoyée par mail ou WhatsApp.
Il est aussi possible de le nmmer sous forme : « Prénom-N. »
Prénom-N.
Pour être en harmonie avec les listes de médicaments en damier, ce Prénom-N. doit subir, via Paint, une « mise en damier » lui-même et de manière cohérente en 16 cases :
Avec les pathologies et médicaments à 16 champs, globalement BN, nous sommes conduits à opter pour les Prénom à 16 champs.
Le Prénom doit-il être BN ou NB ? Pour le savoir, il suffit de latéraliser le Prénom à G de l’écran, loin de la ligne médiane de l’analyste. Si le Prénom BN pulse, c’est qu’il doit être inversé en NB pour que le silence s’établisse.
Il faut prendre en compte que ce Prénom NB, silencieux à G de l’écran doit redevenir BN s’il est transféré à Droite de l’écran pour que le silence persiste.
Le prénom BN à D permettra d’établir des résonances avec des remèdes BN (à G) ; le Prénom NB (à G) favorisera les résonances avec les remèdes NB (à D).
Bref, le Prénom doit être BN ou NB selon sa latéralité
La Photo
La photo directe « visage-cou » est naturellement sous forme de 4 champs basiques, elle est du type BN. Elle est réversible via Paint, et cette forme inversée de couleur, est similaire au Prénom NB.
Latéralisée sur l’écran, si la photo directe pulse, elle doit être inversée de couleur pour que le silence se fasse et pour que les tests de résonance puissent être entamés.
Petit mystère :la photo ne nécessite pas 16 champs…
Le malade réel
Il n’a pas sa place dans nos tests devant écran car il n’est pas en 2D mais en 3D, ce qui favoriserait des interférences avec le Pulsologue. En revanche il trouve sa place dans le contrôle du résultat des tests (pendant l'exposition).
Le malade audio fait exception
Le malade peut en effet vous téléphoner. Et votre haut-parleur émet un message Mono en 1D. Tant qu’il est au bout du fil, même sans parler, la présence du patient devant son microphone suffit à vous transmettre l’information biologique, pathologique de tout son être. C’est assez prodigieux. En cette circonstance, le Pulsologue 3D n’interfère pas.
Il devient ainsi possible de mesurer à distance l’effet d’un traitement via le pouls.
Spécificité de la résonance entre une photo et une substance
Spécificité du Mot en soi : il peut être composé : « générique-spécialité ». Si jamais il y a erreur sur l’un d’eux, mésalliance, le médius ne perçoit rien, inouï !
En revanche, le Nom générique ou celui d’une spécialité médicinale résonne parfaitement tant avec la photo des gélules du médicament, qu’avec la photo de son emballage portant son Nom.
Expérience simple : afficher sur le PC le Nom du médicament à G de l’écran (Salbutamol) et la photo du même médicament à D (Ventoline), sans contact des images ; le survol à distance avec le Médius D révèle la forte résonance qui unit les deux images ; si l’une d’elles est retirée de l’écran, toute résonance au pouls disparaît ; elle s’évanouit, aussi, quand le Nom ne correspond pas à l’image.
Comment procéder avec le PC ?
Avertissement :Le praticien dispose d’un PC dont le clavier et l’écran sont filaires. Aucun test avec une souris ou un clavier sans fil de connexion avec le PC n’a été réalisé jusqu’ici.
Nous savons que le Nom du malade en 16 cases est inscrit – via Paint – sur un côté de l’écran.
On Choisit la liste des pathologies selon le type de maladie (la spécialité). La liste des maladies est affichée de manière controlatérale à l’écran.
Normalement, au Prénom BN correspond une pathologie BN : c’est la base de la résonance.
Le choix du stylo détecteur
Le stylo universel S.T.B.R. est devenu notre référence majeure.
Les substances en lice sont survolées avec la pointe du stylo ou avec le stylo tenu en parallèle à l’écran.
Diagnostic de Pathologie en l’absence du patient
Le praticien ne peut pas tester des remèdes directement sur le malade en 3D car, dans ce cas, des interférences informatives se produiraient avec lui-même en 3D.
Si le Pulsologue recherche un Diagnostic pour lui-même, il doit entrer lui aussi son Prénom-N en 2D, par cohérence, pour respecter la liste des pathologies en 2D.
Le mystère du Prénom
Comme nous venons de le voir, le malade peut être remplacé autant par sa photo que par son « Prénom-Nom ».
Ce qui interpelle vivement, c’est ceci : le Prénom-N. n’est pas daté ! Tout se passe comme si le temps n’existait pas ! A trois mois d’écart un même patient peut être porteur de deux affections différentes ; or les remèdes élus seront en phase avec l’état sanitaire actualisé du patient représenté par son Prénom-N sur lequel le Pulsologie se concentre.
Elle va à l’encontre de la démarche scientifique qui exige la répétitivité de toute expérience et la référence au temps.
Ceci n’est pas une expérience de pensée ; j’’évoquerais plutôt une expérience spirituelle car celle-ci ne peut réussir que si le porteur du Prénom-N est vivant : en effet le damier BN ou NB du Prénom (à 4 ou à 16 champs) d’une personne décédée reste muet en regard du médius et n’entre en aucune résonance pathologique ou médicinale !
Bref, on peut toucher du doigt la Transcendance, donc les deux Mondes.
Mode d’emploi des soins-numerises.
Diagnostic
La Maladie
Le diagnostic repose sur la liste des maladies rangées par spécialités et classées en BN ou NB.
Les listes étant parfois longues (allergènes, aliments), nous avons capturé tous les éléments en deux groupes, l’un sur fond noir, l’autre sur fond blanc. Ces captures d’ensembles sont repérables, elles sont du style « 00--- sur fond noir » et « 00---sur fond blanc » et surmontent chaque colonne listée.
L’intérêt de ces listes est celui-ci : l’une, sur fond noir, favorise le diagnostic, via le stylo S.T.B.R. 1, et l’autre, sur fond blanc, est propice à une thérapie d’ensemble.
Pour les patients non formés à la prise du pouls, ce procédé thérapeutique est assez pratique. Lors de l’exposition, son organisme sélectionnera et captera les éléments stimulants dont il a besoin.
Pour le Pulsologue, cette liste est latéralisée sur un côté de l’écran (soins-numerises.com). la photo ou le Prénom est latéralisé de l’autre côté de l’écran.
Avec le détecteur-stylo S.T.B.R. 1, il survole les diverses pathologies de la spécialité incriminée pour cibler la maladie résonante dont souffre le malade.
Il va sans dire qu’aucune résonance ne se produit en cas de pathologie rare, donc absente de la liste survolée.
Le Praticien
Le nez du Pulsologue pointe vers le centre de l’écran.
Le Pulsologue utilise en général le détecteur-stylo S.T.B.R. 1.
Il peut être amené à employer le détecteur-stylo S.T.B.R. 2, inverse du 1. Son emploi se justifie lors des analyses des listes Homéopathiques en Haute Dilution ou des listes bactériologiques et virologiques.
Thérapeutique
Le patient se place devant l’écran, à 40 ou 50cm, voire à 3 mètres s’il est alité.
Il utilise soit la liste 00 sur fond blanc (traitement en aveugle), soit les éléments spécifiques indiqués par le Pulsologue.
Lors de l’Exposition, on recueille nombre de pulsations (20 à 300 P voire plus). Plus ce nombre est grand plus le diagnostic est ajusté, plus l’expo est justifiée.
En début de traitement, selon la gravité des choses, l’Expo peut durer 15 minutes ou plus.
Mais au fil des jours, les Expos se renouvelant, le nombre des Pulsations initiales décroît.
Et quand aucune résonance n’est plus perçue, le malade est stabilisé pour un temps.
Le Motfilm de la « maladie » a donc un effet stimulant.
L’Exposition thérapeutique
Le Motfilm pathologique, adapté au malade, s’affiche de manière visuelle.
Il est statique, immobile ; il envoie, via les champs EM porteurs de l’écran, une information spécifique nominée.
Pour chaque maladie, un Motfilm est proposé qui cible de manière directe la pathologie en cours de traitement.
Plusieurs Motfilms sont souvent nécessaires (cas du Covid). Infectiologie et complications : pathologies Cardio-vasculaires, Système nerveux central, Rhumato.
Dès le début de l'exposition le pouls bat fortement (si le Motfilm est bien ajusté, opportun). Pendant la durée d’imprégnation de l’organisme, de forts battements du pouls se manifestent ; quand le pouls est calmé, l’expo peut être arrêtée.
En pratique, le malade se place devant l’écran et s’expose à chaque Motfilm, deux minutes au début, puis une ensuite, à raison d’une fois par jour, puis 30 secondes.
Si aucune amélioration clinique ne se produit à l’issue d’une cure de cinq jours, on peut tout suspendre, le Motfilm n’est pas adapté ou bien insuffisamment accompagné.
La thérapie surveillée par le Pulsologue.
Cependant, sur le plan thérapeutique, le praticien peut évaluer, sur son propre pouls, l’effet du Motfilm sur le malade en 3D et sa durée informative.
Son propre pouls décèle par la force et le nombre de ses battements l’intensité de la pathologie dont souffre le malade ; ceci suppose que le praticien est à peu près neutre, qu’il n’interfère que peu avec son patient.
Tout praticien sachant prendre le pouls radial est apte à apprécier la force des pulsations.
Tout clinicien évoquant un diagnostic peut contrôler, par là même, son intuition ; cela étant, si le Motfilm est très indiqué, très propice au malade, la présence du praticien est négligeable.
Allergies, Intolérances alimentaires.
Prenons le cas des allergènes : il est souvent plus pertinent, en phase chronique, d’avoir recours à la Maladie induite comme « allergie-aux-plumes » ; en revanche, « Plumes » ne sera réservé qu’au diagnostic.
Mais avouons que le domaine des allergies est très vaste et très complexe. En cas d’asthme d’été, de multiples pollinoses peuvent s'associer et l’on ignore les Noms des composants. Certains allergènes, comme les chatons d’Aulne, se comportent comme des poisons sans désensibilisation possible ; seul le Motfilm « allergie-aux-chatons-d’A » peut améliorer de façon passagère le sujet qui en est victime.
Il en va de même des intolérances alimentaires issues des plats cuisinés de la grande distribution. La photo inversée du plat suspecté vous soulagera, tout en vous apprenant à rester sur vos gardes. Souvenons-nous que le groupe 00 sur fond blanc est curatif et celui 00 sur fond noir diagnostic (mais aggravant)
Les causes d’échecs.
-Un diagnostic inexact.
-Un Pouls toxique (pulsations actives en travers et continuelles). Un patient qui arrive en voiture est pollué par le champ magnétique de l’alternateur du moteur. Je l’expose en priorité, dès son arrivée, à la Labradorite, pour calmer son pouls, avant de poursuivre tout examen.
Une intoxication alimentaire ou médicamenteuse : dans ce cas il faut exposer aussi le patient à la Labradorite dépolluante (en tête des rubriques) avant d’entamer l’exposition au programme principal.
Ces dépollutions s’imposent quand on veut déterminer la pertinence des remèdes que le patient apporte ; via la réaction d’écart (pulsologie.com) les uns sont favorables, les autres inutiles voire nocifs (à proscrire).
-Le seul Motfilm d’une maladie a presque toujours besoin d’autres Motfilms pharmacologiques d'appoint – voir site de remedes-numeriques.com.
Effets secondaires.
Un Biofilm mal indiqué serait-il apte à induire des effets secondaires ? Si l’indication est mauvaise, l’exposition-test ne donne aucune résonance.
Certes, l’exposition à un germe pathogène en phase aigüe aggrave ; mais en prévention il vaccine.
Il n’y a plus qu’à essayer
Saisissons bien que ce n’est pas l’image elle-même qui agit mais les champs informatifs transférés par elle, via l’écran. De même que ce ne sont pas les mains du magnétiseur qui soignent mais le « fluide », le Biochamp que ses doigts dégagent. Pour illustrer ces soins digitalisés, les « soins numérisés » vous sont donc proposés.
Via l’onglet « Nous contacter » vous pouvez commenter et nous répondrons.
Ce site de recherches est voué aux mises à jour. D’où sa gratuité.
Dr Jean-Claude Toureng
2 / English patch
INFORMATION FIELDS
(Digitalised Treatments)
Update 2024 09 09
The Digital Care that we offer on a self-service basis is easy to use. They are based on the patient's exposure to specific information fields emitted by a PC screen.
In front of a "Biofilm", or biological field, the pulse begins to beat forcefully (without accelerating) if the informative program it carries is beneficial to the patient. The study of these fields is based on Nogier's Pulse: www.pulsologie.com.
These treatments are complementary to conventional treatments. They are part of the " Spiritual Therapies", like Gregorian chants. .
Informative Fields: Definition.
These immaterial fields therefore emanate from all living beings
They are similar to the information fields emitted by homeopathic granules in high dilution, which are freed of any material outside their support (granules).
These fields are not isolable in their pure state, but the carrier electromagnetic fields reinforce them. The PC interfaces testify to these biological Infofields through the clinical effects that accompany patients' exposures to specific Biofields. . .
From the skin emanates the acupuncture point. For a century, no microscope has been able to reveal the slightest skin structure suggestive of an acupuncture point, and yet they do exist, the pulse is proof of this.
Certain musical compositions, such as the works of Allegri, Tomas Luis de Victoria, Pergolesi, Palestrina or Monteverdi, for example, are also capable of inducing great serenity. The spirituality of the composer mysteriously transcends the melody, even if the spirituality of its performer leaves much to be desired.
We are entering a "non-scientific" world as soon as no modern technical approach is able to apprehend these phenomena that come from the dawn of time (acupuncture) and who free themselves from rational thought.
These information fields escape us because they cannot be captured in isolation, nor can they be recorded on paper or seen in their pure state on the screen of a PC. They go against scientific reality, which is limited to "visual" observations, verifiable, reproductive, and non-refutable.
Informational fields emanate from a reality that is both invisible and meaningful; they are only detected in a "tactile" way via palpation of the radial pulse and the entire arterial tree.
Already in 1943, Professor René Leriche had noticed an inexplicable phenomenon in one of his patients whom he had operated on for an arteriovenous aneurysm of the femoral region. The artery, isolated but still dilated, reacted to various stimuli; he referred to the existence of a "cutaneous vascular reflex"; this phenomenon heralded the future Pulse of Paul Nogier.
For my part, as an extern at the Hôtel-Dieu Hospital, and in charge (in 1960) of studying the pulse of a patient with a myocardial infarction, I had noted the jolts of this pulse when the nurse had come to place a mercury thermometer in contact with the patient's bed; the toxicity of mercury by conduction was the stimulus; but I was too young to understand.
These informative fields come from Life, but also from the Word and from each WORD.
Links between EM Fields and Biological Fields..
Let us start with the work of J. Benveniste and that of Prof. L. Montagnier, his extender. These authors focused on EM fields. They considered that the encoded information was of a purely EM nature.
Our conception differs. The information fields, in which living beings are bathed, are upstream of the carrier EM fields. EM fields are only the support for information fields.
Favorable biological fields.
Among the biological fields, conveyed by the EM fields, there are beneficial ones. It all depends on the family of these fields, their origin and the subjects that receive them.
Pure and favorable biological fields are well identifiable in nature. They are at the origin of these isolated trees, which come out of nowhere and which are landmarks in certain desolate or even desert regions.
These biological fields can also be found in the middle of the meadows in the form of circles (known as witch circles). The grass is much greener and taller than in the centre or on the periphery; There are also mushroom circles (mushroom mushrooms), nicknamed "witches' circles".
We have managed to highlight these informative fields. They are part of Nogier's pulse: they are therefore the result of a clinical approach.
Diseases enhanced by biological fields.
Our study consisted of identifying and cataloguing, via the pulse, the information fields capable of correcting a certain number of common more or less severe pathologies.
Originally, these recorded biological fields were derived from pathological tissues, and chemical pharmacological substances, (see www.remedes-numeriques.com ) as long as their name is well defined.
Among the common pathologies, some are easy to treat by exposure via their own information fields.
How do these information fields work? It is very difficult to account for it; Generally speaking, we think that they act by stimulating a disordered substrate, by synchronizing reinformation.
Oncological pathologies (cancers) are also our responsibility; on the "remedes-numeriques.com" site of the "Biofilms" or "Infofilms" we offer many digital drugs (recent and expensive) in order to be able to choose, via the pulse, the best targeted remedies, the most suitable for the affected individual . This offer remains totally potential; what oncologist would go astray in such a connivance without risking his reputation?
Genetic abnormalities are moving away from our field. Of course, their biofilms allow us to make a diagnosis, or even to stimulate genes.
Between sinusitis, mild flu and more chronic pathologies, there are many degrees. There is also a difference between compensated diseases (the patient defends himself) and decompensated diseases (the body loses its footing).
The exhibitions we propose will therefore be more or less effective and will have to be continued for a longer or shorter time, but, let's face it, some Infofilms are "encouraging". Our role is to support the treatments already established but also to preserve them.
Of course , in chronic cases, the pathological nature reasserts itself and a new exposure to favorable biofilms is necessary. We do not claim to cure but often relieve certain diseases.
The Word-Fields
The Word proceeds from the Living and the Living proceeds from the WORD, whatever the language, as long as the Word carries and supports a specific entity.
The informative fields also come from the Word and each MOT (Word). This is a mutation of our research.
Our previous Biofilms emanated from a zoomed-in center point.
This point presented itself as the "core" of the audio bandwidth or any pathological image photo. He was spotted with a peculiar detector. Its amplification (zoom) was supposed to marginalize the surrounding image in favor of this core. And it brought me encouraging but fluctuating results...
Then we moved on to the well-framed Word. The picture of a measles, for example, was replaced by the word "Measles". To our astonishment we found that this word also had a focus, a focal point, which could be exploited as above. We were only intrigued to note that this focus resonated well when flying over a detector but that quite often, for other Words, the resonance was "halo" as if in front of a hollow point (pseudo-resonance)...
This led me to question the propriety of my detector pens.
Leading biological detector: the Médius (or Middle Finger)
I then returned to the biological detector that I had described, a few decades ago, about the checkerboard division of 32 skin fields in the body. The Medius of my hand D has this ability, at its end, to summarize the 4 basic fields of the cranial checkerboard; the same is true of the G middle and the toe media.
By hovering over my middle finger on framing words, I found two types of words: those whose middle, initially, pulses strongly (word B) and those whose ends initially pulse strongly (word A).
The Word in Black and White
As the analysis is carried out, the Framed Word emits four internal fields : L = Pulse in Long, T = Across, Upper Line D = Pulse at an Angle, Upper G at an Inverted Angle.
.
But this word is characterized by its oscillating state. For the lower right angle, for example, the 6 L (lengthwise) pulsations are followed by 6 T (across) pulses. The other 3 angles metamorphose simultaneously; then back to the initial state.
This oscillating and nagging state is a problem that we had to TAKE OVER.
Each word is divisible into 4 internal fields via the middle finger.
We then came up with the idea of transferring to the Word a structure with 4 fields, the one that corresponds to the
cutaneous checkerboard, like the one seen above, representing the top of the head.
This 4-square conformation gives us a checkerboard with
special internal surfaces.
Starting from the top left and clockwise, we have a BNBN (white-black-white-black) aspect.
The center of the word, which is defined by the crossing of the two lines, initially resonates under the tip of the Medius, then becomes silent at the expense of the
Halo: there is still an oscillation.
This resonance of the halo increases as we move away from the central point and then decreases as we return to the central point. It seems that the "center-halo" assembly pulsates like a heart.
The Inverted Checkerboard
The BNBN Word became NBNB thanks to Paint.
With regard to the Medius, this Word reveals two things. The center of the Word pulsates strongly. in a continuous transversal manner.
And the Halo remains silent.
The BNBN Word , which pulsates like a heart, is considered biological; is it favorable?
Can the word in NBNB that pulses across be considered harmful?
The oscillatory state of the BNBN Words is not resolved, however.
The Checkerboards
This first 4-square checkerboard being oscillating, we have extended this notion of checkers.
The 16-field checkerboard BN
It originates from the fact that the anterior surface of the body is divided into 16 skin fields.
Miraculously, this checkerboard does not oscillate, it is really fixed and silent.
We therefore evoke the hypothesis that there is congruence between these 16 boxes and the 16 anterior skin fields of the body of the Pulsologist facing the PC screen.
This checkerboard with 16 squares, or 4 Words, can be abbreviated to BN: these are the two white-black squares at the top.
The 16-field checkerboard NB
It is an inverted checkerboard of color.
Unlike the BN checkerboard which pulses lengthwise, the center of the NB checkerboard pulses across.
Is this a sign of harmfulness? Well, no. It means that this checkerboard represents the posterior side of the body, it corresponds to the "far side of the moon".
There are therefore two types of checkerboard: BN characterizes a disease or drug whose action targets the anterior body and NB specifies a disease or drug aimed at the posterior body.
It is enough to refer to the Organs to understand this phenomenon: the checkerboards of the anterior organs are BN and the posterior organs (kidneys, vertebrae...) NB.
"Sciatica", a posterior condition, presents itself in NB form and pulses askew when it comes face to face with the face, the front of the body.
Analysis of a patient with sciatica. When exposed to the Motfilm sciatique NB, the front side of his body pulsates across, but his back pulses long and that's what matters.
The Organs of the Body
A branch of homeopathy is called Organotherapy. We have thus established a list of Organos in 30CH which includes 137 elements.
This analysis allowed us to discover that all the anterior organs of the body (the breasts) were BNBN checkerboards and that all the posterior organs (the kidneys) were NBNB checkerboards.
On reflection, there is a real opposition between the 16 anterior and 16 anterior skin checkerboards.
Checkerboard with 32 skin fields
This distinction in the space of the front and rear organ words leads us to a more general extension: all pathologies and subsequent medicinal substances NB must be reported and grouped together.
However, the anterior and posterior checkerboards coexist in the same list because of their common silence.
Pathologies and drugs mainly posterior.
For more information on how to screen for posterior NB elements, refer to the pulsologie-biophysique.com site. /Chap. 31.
THE SICK MAN AND HIS 2 PERFORMANCES
It can manifest itself via his photo (head and neck) sent by email or WhatsApp.
It is also possible to put it in a word form: "First Name-N."
First Name-N.
To be in harmony with the checkerboard lists of medications, this First Name-N. must undergo, via Paint, a "checkerboard layout" itself and in a coherent way in 16 boxes:
With pathologies and drugs at 16 fields, we are led to opt for
First names at 16 fields.
Should the First Name be BN or NB? To find out, you just have to lateralize the First Name to R or L on the screen, away from the analyst's midline. If the First Name BN pulses, it means that it must be reversed to NB
for silence to be established. And vice versa for a First Name NB.
The photo
The direct "face-neck" photo is naturally in the form of 4 basic fields, it is of the BN type. It is reversible via Paint, and this inverted color shape is similar to the NB First Name.
Lateralized on the screen, if the direct photo pulses, it must be inverted in color so that silence occurs and so that resonance tests can be started.
Little mystery: the photo does not require 16 fields...
The Real Patient
It has no place in our screen tests because it is not in 2D but in 3D, which would promote interference with the Pulsologist. On the other hand, it finds its place in the control of the results of tests (during exposure).
The Audio patient is an exception
The patient can indeed call you. And your speaker plays a 1D Mono message. As long as he is on the other end of the line, even without speaking, the presence of the patient in front of his microphone is enough to transmit to you the biological and pathological information of his whole being. It's quite prodigious. In this circumstance, the 3D Pulsologist does not interfere.
This makes it possible to measure the effect of a treatment remotely via the pulse.
Specificity of the resonance between a photo and a substance
The specificity of the
word itself is that it can be composed : "generic-specialty". If ever there is an error on one of them, misalliance, the medius perceives nothing, unheard of!
On the other hand, the
generic name or that of a medicinal product resonates perfectly with both the
photo of the capsules of the drug, and with the photo of its
packaging bearing its name.
Simple experiment: display on the PC the name of the drug at G on the screen (Salbutamol) and the photo of the same drug at D (Ventolin), without contact of the images; the remote hover with the Middle D reveals the strong resonance that unites the two images; if one of them is removed from the screen, any resonance with the pulse disappears; it vanishes, also, when the Name does not correspond to the image.
How to proceed with the PC
Warning: The practitioner has a PC with a wired keyboard and screen. No tests with a wireless mouse or keyboard to connect to the PC have been carried out so far.
We know that the Patient's Name in 16 boxes is written – via Paint – on one side of the screen. .
The list of pathologies is chosen according to the type of disease (the specialty). The list of diseases is displayed contralaterally on the screen.
The choice of detector pen
The S.T.B.R. universal pen has become our major reference.<
The competing substances are hovered over with the tip of the pen or with the pen held parallel to the screen.
Diagnosis of Pathology in the Absence of the Patient
The practitioner cannot test remedies directly on the patient in 3D because, in this case, informative interference would occur with himself in 3D.
If the Pulsologist is looking for a Diagnosis for himself, he must also enter his First Name-N in 2D, for consistency, to respect the list of pathologies in 2D.
The mystery of the First Name
As we have just seen, the patient can be replaced as much by his photo as by his "First Name-Last Name".
What is very striking is this: the First Name-N. is not dated! Everything happens as if time did not exist! Three months apart, the same patient can be a carrier of two different conditions; however, the chosen remedies will be in line with the patient's updated state of health, represented by his or her N-First Name, on which Pulsology focuses. It goes against the scientific approach which requires the repetitiveness of all experiments and the reference to time.
This is not a thought experiment; I would rather evoke a spiritual experience because it can only succeed if the bearer of the First Name-N is alive: in fact, the BN or NB checkerboard of the First Name (with 4 or 16 fields) of a deceased person remains mute in front of the medius and does not enter into any pathological or medicinal resonance!
In short, we can touch with our fingers the Transcendence, and therefore the two Worlds.
How to use Digitalized Care.
Diagnosis
The Disease
The diagnosis is based on the list of diseases classified by specialty and classified as BN or NB.
As the lists are sometimes long (allergens, food), we captured all the elements in two groups, one on a black background, the other on a white background. These set captures are recognizable, they are of the style "00--- on a black background" and "00---on a white background" and surmount each column listed.
The interest of these lists is this: one, on a black background, promotes diagnosis, via the S.T.B.R. 1 pen, and the other, on a white background, is conducive to an overall therapy.
For patients who are not trained to take the pulse, this therapeutic procedure is quite practical. During the exhibition, his body will select and capture the stimulating elements it needs.
For the Pulsologist, this list is lateralized on one side of the screen (soins-numerises.com). the photo or first name is lateralized on the other side of the screen.
With the S.T.B.R. 1 pen-detector, he flies over the various pathologies of the offending specialty to target the resonant disease from which the patient suffers.
It goes without saying that no resonance occurs in the case of a rare pathology, which is therefore absent from the list skimmed over.
The Practitioner
The Pulsologist's nose points to the center of the screen.
The Pulsologist usually uses the S.T.B.R. PEN detector 1. He may be required to use the S.T.B.R. 2 pen detector, the reverse of the 1. Its use is justified during the analysis of High Dilution Homeopathic lists or bacteriological and virological lists.
Therapeutic
The patient places himself in front of the screen, 40 or 50 cm away, or even 3 meters away if he is bedridden.
He uses either the « 00 list on a white background » (blind treatment), or the specific elements indicated by the Pulsologist.
During the Exhibition, the number of pulses (20 to 300 P or more) is collected. The greater the number, the more accurate the diagnosis, the more the exposure is justified.
At the beginning of treatment, depending on the severity of the treatment, the Expo can last 15 minutes or more.
But as the days went by, as the Expos were renewed, the number of initial Pulsations decreased. And when no resonance is perceived, the patient is stabilized for a time.
The Wordfilm of "illness" therefore has a stimulating effect
Therapeutic Exposure
The pathological Motfilm, adapted to the patient, is displayed visually.
It is static, immobile; it sends, via the EM fields on the screen, specific, nominated information.
For each disease, a Motfilm is proposed that directly targets the pathology being treated. Several Motfilms are often necessary (Covid cases). Infectiology and complications: Cardiovascular, Central nervous system, Rheumatologist.
From the beginning of the exhibition, the pulse beats strongly (if the Motfilm is properly adjusted, timely). During the period of impregnation of the body, strong pulse beats are manifested; When the pulse has calmed down, exposure can be stopped.
In practice, the patient stands in front of the screen and exposes himself to each Motfilm, two minutes at first, then one, once a day, then 30 seconds
If no clinical improvement occurs at the end of a five-day treatment, everything can be suspended, the Motfilm is not adapted or insufficiently accompanied.
Therapy monitored by the Pulsologist.
However, from a
therapeutic point of view, the practitioner can evaluate, on his own pulse, the effect of the Motfilm on the patient in 3D and its informative duration.
His own pulse detects by the force and number of its beats the intensity of the pathology from which the patient suffers; this supposes that the practitioner is more or less neutral, that he interferes only slightly with his patient ; this being so, if the Wordfilm is very appropriate, very conducive to the patient, the presence of the practitioner is negligible.
Any practitioner who knows how to take the radial pulse is able to appreciate the strength of the pulsations.
Any clinician who evokes a diagnosis can thereby control his intuition.
Allergies, Food intolerances.
Let's take the case of allergens: it is often more relevant, in the chronic phase, to use the induced disease such as "feather allergy"; on the other hand, "feathers" will only be reserved for diagnosis.
But let's face it, the field of allergies is very vast and complex. In the case of summer asthma, multiple pollinoses can associate and the names of the components are unknown. Some allergens, such as alder kittens, behave like poisons without any possibility of desensitization; only the Wordfilm "allergy-to-kittens-of-A" can temporarily improve the subject who is the victim of them.
The same applies to food intolerances from ready-made meals in supermarkets. The inverted photo of the suspected dish will relieve you, while teaching you to stay on your toes. Let's remember that group 00 on a white background is curative and group 00 on a black background is diagnostic (but aggravating)
Causes of failure.
An inaccurate diagnosis.
A toxic pulse (active and continuous pulsations).
A patient who arrives by car is polluted by the magnetic field of the engine's alternator. As soon as he arrives, I put him in the Labradorite as a priority, to calm his pulse, before continuing any examination.
Food or drug poisoning: in this case, the patient should also be exposed to depolluting Labradorite (at the top of the headings) before starting exposure to the main program
These decontaminations are necessary when we want to determine the relevance of the remedies that the patient provides; via the deviation reaction (pulsologie.com) some are favourable, others useless or even harmful (to be avoided).
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The single Motfilm
The single Motfilm of a disease almost always needs other adjunctive pharmacological Motfilms – see remedes-numeriques.com's website.
Effects.
Would an ill-indicated biofilm be able to induce side effects? If the indication is poor, the test exposure gives no resonance.
Of course, exposure to a pathogenic germ in the acute phase aggravates; but as a preventive measure, it vaccinates.
All you have to do is give it a try
Let us understand that it is not the image itself that acts but the information fields transferred by it, via the screen. In the same way, it is not the hands of the magnetizer that heal, but the "fluid", the Biochamp that his fingers release. To illustrate this digital care, "digital care" is therefore proposed to you.
Via the "Contact Us" tab you can comment and we will respond.
This research site allows for updates. Hence it's free.
Dr Jean-Claude Toureng