CHAMPS BIOLOGIQUES
2023 11 20
Mise à jour
1/ Français :
Les Soins Numérisés que nous proposons en libre-service sont simples d’emploi. Ils reposent sur l’exposition du malade à des champs informatifs propres émis par l’écran d’un PC.
Devant un Biofilm, un "Infofilm", qui est un programme de champ biologique bénéfique, le pouls se met à battre avec force (sans s’accélérer). L'étude de ces champs repose en effet sur le Pouls de Nogier: www.pulsologie.com.
Ces soins sont complémentaires des traitements classiques. Ils entrent dans le cadre des « Thérapies Suppléantes ».
Champs Informatifs : définition.
Ces champs immatériels émanent donc de tous les êtres vivants mais aussi de leurs représentants biologiques que sont les médicaments. Ils s’apparentent aux champs informatifs comme ceux émis par les granules homéopathiques en haute dilution, qui sont affranchis de toute matière hors leur support (granules).
Ces champs ne sont pas isolables à l’état pur mais les champs électromagnétiques porteurs les renforcent : les écrans de PC en témoignent.
Les couleurs fréquentielles, électromagnétiques, portent aussi ces champs. Ces Infochamps sont indépendants des fréquences (des couleurs).
De la peau émane le point d’acupuncture. Depuis un siècle aucun microscope n’a pu révéler la moindre structure cutanée évocatrice d’un point d’acupuncture et pourtant ils existent.
Certaines compositions musicales, les œuvres d’Allegri, de Tomas Luis de Victoria, de Pergolèse, de Palestrina ou de Monteverdi, par exemple, sont également aptes à induire une grande sérénité. La spiritualité du compositeur transcende mystérieusement la mélodie plus que celle de son interprète.
Nous entrons de plain-pied dans un monde « hors-scientifique » dès lors qu’aucune approche technique moderne n’arrive à appréhender ces phénomènes qui viennent de la nuit des temps (acupuncture) et qui bravent la pensée rationnelle. Ces champs informatifs nous échappent puisqu’ils ne peuvent être captés isolément, ni enregistrés sur papier ou se laisser voir à l'état pur sur l'écran d'un PC.
La réalité scientifique est limitée aux observations « visuelles », vérifiables, reproductives, non réfutables. Les champs informatifs émanent d’une réalité à la fois invisible et signifiante ; ils ne sont décelés que de manière « tactile » via la palpation du pouls radial (de tout l’arbre artériel plus généralement).
Ces champs informatifs, comme le pouls radial, procèdent de la Vie, mais aussi du Verbe et de chaque Mot.
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Magnétiseurs.
Les magnétiseurs sont aptes, non seulement à émettre des champs favorables, mais ils captent aussi, à proximité de la peau, des informations issues des organes sous-jacents en souffrance, ce qui leur permet une approche du site pathologique. Les tissus émettent donc des Biochamps qui informent le magnétiseur.
Ces praticiens doivent aussi endurer les champs pathologiques « négatifs » émis par certains malades : ils ressentent une sorte d’épuisement. Ils sont alors amenés à se régénérer eux-mêmes avec un cristal de Labradorite dont ils se frottent les mains chaque jour.
Bien sûr, les champs bénéfiques émis sont très variables d’un magnétiseur à l’autre. Leur « pénétration » est aussi une variable.
Nous sommes ici dans le domaine de l’agrément, de la confiance, voire de la fascination, domaine pour lequel certains n’y voient qu’effet placebo…
Il ne faut pas nier cet effet placébo qui peut être aussi efficace qu’un vrai médicament. Il faut aussi concevoir que « L’absence de preuve de l’existence de ces champs informatifs ne prouve pas que leur effet soit absent » comme disent les biostatisticiens ; ou comme le dit Carl Sagan : « absence of evidence is not evidence of absence ».
Enregistrement des Champs Biologiques.
Les progrès des techniques (l'informatique) nous permettent d’enregistrer les Biochamps et de les amplifier.
Les ordinateurs réalisent la liaison, l’interface entre les champs électromagnétiques et les champs biologiques. Pour être plus précis, ces champs biologiques ne sont pas perceptibles par les instruments de physique classiques. Mais leurs informations peuvent être transportées par les champs EM qui leur servent de support, de vecteur.
D’autres avant nous ont exploré cette voie. Il suffit de prendre connaissance des travaux de J. Benveniste et de ceux du Pr L. Montagnier, son prolongateur, pour comprendre qu’une substance, un brin d’ADN z, peut délivrer une information laquelle est captée par voie EM ; en sens inverse, cette information est alors apte à engendrer une copie de l’ADN z initial.
Cette expérience de L. Montagnier avait été filmée et diffusée sur YouTube :
https://www.youtube.com/watch?v=a_2_Qap3G1s
Mais, ces travaux sont considérés avec une grande réserve par les scientifiques purs. Est-ce pour cela que la vidéo n’est plus disponible ? Des expériences plus récentes auraient-elles démenti, réfuté cette vidéo ?
Champs EM et Champs Biologiques.
C’est ici que nous divergeons. Les auteurs précités se sont focalisés sur les champs EM. Ils considèrent que l’information encodée est de nature purement EM.
Pour J. Benveniste et L. Montagnier, l’information n’émane que des substances diluées dans un mélange hydroalcoolique et dynamisées entre 6 et 10 DH.
Ceci les a orientés vers la théorie de « la mémoire de l’eau » où l’eau joue un rôle essentiel par ses particularités constitutionnelles.
Notre conception diffère. Les champs informatifs, dans lesquels les êtres vivants baignent, sont en amont des Champs EM porteurs. Il n’y a pas de "créneau de dilution" car l’eau n’est pas l’intermédiaire obligé.
Champs biologiques favorables.
Parmi les champs biologiques, véhiculés par les champs EM, s’en trouvent des bénéfiques. Tout dépend de la famille de ces champs, de leur origine et des sujets qui les reçoivent.
Les champs biologiques purs et favorables sont bien identifiables dans la nature. Ils sont à l’origine de ces arbres isolés, issus de nulle part et qui font repère dans certaines régions désolées voire désertiques.
On retrouve aussi ces champs biologiques au milieu des prairies sous forme de cercles (dits de sorcière). L’herbe est bien plus verte et plus haute qu’au centre ou en périphérie ; il y a aussi les cercles de champignons (mousserons), surnommés "ronds de sorcières".
Nous sommes parvenus à identifier ces champs informatifs. Certes, nous n’énoncerons pas, ici, les multiples étapes qui nous ont fait progresser, qui résultent du pouls de Nogier, et qui nous ont permis d’isoler les Infochamps, mais nous pouvons garantir qu’ils relèvent d’une approche biologique, pulsologique et non physique..
Maladies améliorées par les champs biologiques.
Notre étude a consisté à repérer, répertorier, via le pouls, les champs informatifs aptes à corriger un certain nombre de Pathologies courantes plus ou moins sévères.
Ces champs biologiques enregistrés sont issus, à l’origine, de tissus pathologiques, et de substances pharmacologiques chimiques, (voir www.remedes-numeriques.com ) dès lors que leur Nom est bien défini.
Parmi les pathologies fréquentes, certaines sont faciles à traiter par exposition à leurs propres champs informatifs, d’autres sont bien plus difficiles.
Il va de soi que les pathologies oncologiques (cancers) sont peu de notre ressort ; nous osons cependant proposer, sur le site « remedes-numeriques.com » des « Biofilms » ou « Infofilms » de nombreux médicaments numériques oncologiques afin de pouvoir choisir, via le pouls, les remèdes les mieux ciblés, les plus adaptés pour l'individu atteint.
Il en va de même pour les lésions traumatiques : les champs favorables à la consolidation d’une fracture passent bien après l’intervention orthopédique.
Les anomalies génétiques s’éloignent de notre domaine. Certes leurs Biofilms nous permettent de poser un diagnostic. Mais au plan thérapeutique, nous tentons de nous appuyer sur les gènes responsables isolés et nous proposons, pour l’Autisme par exemple, des Biofilms issus des six gènes actuellement connus.
Entre une sinusite, une grippe bénigne et des pathologies plus chroniques, il y a de nombreux degrés. Il y a aussi une différence entre les maladies compensées (le malade se défend) et les décompensées (l’organisme perd pied).
Les expositions que nous proposons seront donc plus ou moins efficaces et devront être poursuivies plus ou moins longtemps, mais, disons-le, certains Info films sont assez « encourageants ». Notre rôle est de complémenter les traitements déjà instaurés.
Les Biofilms rétablissent l’équilibre des malades en neutralisant leur déséquilibre pathologique. Certes dans les cas chroniques, la nature pathologique reprend ses droits et une nouvelle exposition aux Biofilms favorables s’impose. Nous ne prétendons pas guérir mais soulager certaines maladies.
Maladies améliorées par les Motchamps
Nous avons dit, supra, que les champs informatifs procèdent de la Vie, mais aussi du Verbe et de chaque Mot. Ceci est une évolution, une conversion, une mutation de notre recherche.
Nos précédents Biofilms émanaient d’un point central zoomé.
Ce point apparaît comme le « condensé inversé » de la Bande passante audio ou de toute photo d’image pathologique. Il était repéré avec un détecteur particulier. Son amplification (zoom) était censée marginaliser l’image environnante au profit de ce point. Et il m’apporta de substantiels résultats thérapeutiques…
Puis nous sommes passés au Mot bien cadré. La photo d’une rougeole par exemple fut remplacée par le mot « Rougeole ». Avec étonnement nous avons constaté que ce mot avait lui aussi un centre et ce point central pouvait être exploité comme ci-dessus. Nous avons seulement été stupéfiés de noter que ce point central résonnait bien au survol par un détecteur mais qu’assez souvent, pour d’autres Mots, il résonnait en halo comme en regard d’un point en creux (pseudo-résonance) … Ceci m’amena à nourrir des doutes sur mes stylo-détecteurs.
Détecteur universel biologique : le Médius
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J’en revins alors au détecteur biologique universel que j’avais décrit, il y a bien longtemps, à propos de la division en damier de 32 champs cutanés du corps. Le Médius de ma main D a cette capacité, à son extrémité, de résumer les 4 champs basiques du damier crânien ; il en va de même du Médius G et des médius des orteils.
En balayant mon médius sur les mots-cadrés, je retrouvais deux types de Mots : ceux dont le centre, au milieu, pulse fort (mot B) et ceux dont les extrémités pulsent fort (mot A).
Et en approfondissant l’analyse, le Mot B écrit Noir sur Blanc, émet, à l’intérieur du cadre, 4 champs : L = pulsation en Long, T = en Travers, ligne supérieure D = pouls en biais, supérieure G en biais inversé.
Ces Motfilms délivrent la même information, en plus intense, que les biofilms précédents
Dans l’exemple donné « Mot » appartient au groupe B.
Si j’analyse un antiseptique comme Ercéfuryl je suis en présence d’un Motfilm A : le médius révèle que T, L ou Obliques sont perceptibles aux 4 coins internes du Mot.
Les Mots A semblent cibler un certain type de malades, les Mots B privilégier d’autres types de patients.
Les Motfilms A et B ne sont jamais mélangés dans une même série.
Il faut noter que le mot peut être composé : « générique-spécialité ». Mais si jamais il y a erreur sur l’un d’eux, le médius perçoit tout de suite l’incohérence. En outre, si le mot comporte une origine géographique non contrôlée, il devient incohérent, il faut alors retirer cette origine.
Deux sous-groupes :
Ce sont les deux précédents pivotés de 180°
Dans le groupe A se trouvent les B/N, au groupe B appartiennent les B/B. Dans les 4 cas (avec les pivots à 180°) les résonances au médius sont les mêmes. Il y a donc une harmonie totale des champs du « Mot », ce qui favorise les tests de remèdes.
Le Duo Nom direct et Nom à 180°
Ainsi, chaque maladie ou chaque substance médicinale est accompagnée de son double à 180°. Ce procédé favorise grandement les tests et voilà pourquoi.
Faisons une incursion dans le domaine des médicaments (remedes-numeriques.com)
Le « remède » direct – précédé d’un zéro sur ce site – représente l’Infofilm actif alors que son double à 180° est son opposé, son antidote. En réalité cette paire forme un binôme oscillant rapidement.
Pour bien comprendre il faut se reporter à la réaction d’écart bien décrite sur le site de (remedes-numeriques.com.), à propos de la pertinence d’un remède.
Une résonance proximale est néfaste, une résonance distale est favorable. Comme nous balayons les listes de médicaments à proximité, avec le détecteur A ou B, nous constatons que la résonance, en regard de la paire, est bipolaire : auprès et au loin, auprès en regard du Nom à 180° (en principe nocif) et au loin, en éloignant le stylo A ou B de l’écran, en regard du Nom direct, précédé du zéro (en principe bénéfique).
Ceci évite de passer à côté d’un bon remède qui ne peut résonner que de loin et donc difficile à repérer au sein d’une liste.
La puissance du Nom Informatif
Le Mot procède du Vivant et le Vivant procède du Mot, quelle que soit la langue, dès lors que le mot porte et soutient une entité précise, comme le générique l’est.
Nous sommes ici dans une démarche non scientifique mais purement Spirituelle.
Mode d’emploi.
Diagnostic
Le Patient
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Il est représenté par son Prénom-et l’Initiale de son Nom de manière cadrée – via Paint. Sous forme BB.
Le patient peut aussi être remplacé par la photo détourée de son visage : ni le cou ni les oreilles ne doivent apparaître.
Le Praticien
Il doit être Neutre pour ne pas interférer. Il est annihilé via un Bristol N/N à son Nom qui pend à son cou ; le Nom regarde son sternum.
La Maladie
Le diagnostic repose sur la liste des maladies qui surviennent dans un domaine particulier, cardio-vasculaire par exemple. Cette liste est au centre droit de l’écran.
En raison de la réaction d’écart, une maladie doit être présentée sous ses deux formes opposées : Le Nom de la maladie direct à 0° et celui pivoté à 180°. Ce duo est un tout : lors du balayage avec le stylo induit, idoine (BB ou BN), la maladie résonne avec le patient, car le Nom de ce dernier est affiché à gauche de l’écran. La pathologie impliquée résonne sous ses deux formes : le duo bipolaire oscille ; quand l’un pulse en long, l’autre le fait en travers et ceci s’inverse au bout de quatre pulsations.
Cette rapidité élimine les interphases silencieuses. Le diagnostic est donc net ; les autres pathologies duales avoisinantes restent silencieuses.
Thérapeutique
Le Motfilm de la « maladie » a un effet curatif.
Il se caractérise par le fait que le Patient doit être
AUPRES de l’écran (30 cm) pour que l’action soit bénéfique.
Sur ce site se trouvent aussi nombre d’
Homéopathiques en 12 CH.
Leur présence n’est pas incongrue. Après sélection, on doit s’exposer aux remèdes,
auprès de l’écran.
Ce procédé diffère de tous les médicaments allopathiques – voir remedes-numeriques.com – dont l’exposition se fait à distance (TROIS à SIX mètres de distance) selon le groupe B ou A du Motfilm affiché sur l’écran.
Modalités diagnostic-thérapie
Le diagnostic de la maladie est établi par le médecin.
Le Motfilm thérapeutique, adapté au malade, s’affiche de manière visuelle.
Il est statique, immobile ; il envoie, via les champs EM porteurs de l’écran, une information spécifique.
Pour chaque maladie, un Motfilm est proposé qui vise de manière directe la pathologie en cours de traitement. Plusieurs Motfilms sont nécessaires dans le cas du Covid. Infectiologie et complications : pathologies Cardio-vasculaires, Système nerveux central, Rhumato.
Dès le début de l'exposition le pouls bat fortement (si le Motfilm est bien ciblé). Pendant la durée d’imprégnation de l’organisme, ces forts battements du pouls vont lentement en décroissant ; quand il est calmé, l’expo peut être arrêtée.
En pratique, le malade se place devant et auprès (30 cm) de l’écran et s’expose à chaque Motfilm, deux minutes au début, puis une ensuite, à raison d’une ou deux fois par jour.
Si aucune amélioration clinique ne se produit à l’issue d’une cure de cinq jours, on peut tout suspendre, le Motfilm n’est pas adapté.
Le diagnostic peut aussi être établi par un Pulsologue.
Ceci est réservé aux médecins expérimentés ayant une bonne acuité tactile pour lire le pouls.
Ils verront que les pathologies sont
listées en groupes A et B.
Deux stylos détecteurs A et B (N° 4 et 5) sont trouvés sur le site (00 Labradorite).
Chaque stylo est induit par le Mot même : « Bout de Médius à 4 champs » zoomé au maximum.
En balayant les listes de maladies avec la pointe du stylo idoine (ou même en utilisant son propre médius), on obtient une résonance avec le malade.
Voyons comment.
Malade et praticien côte-à-côte
Le malade est placé devant l’écran. Le praticien est situé en retrait, en arrière-plan, et il est
neutralisé (par un Bristol à son Nom regardant son sternum – schéma ci-dessous).
Son pouls décèle par la force de ses battements la pathologie dont souffre le malade.
Une curiosité étonnante. Si la pointe du Médius balaye l
e titre d’une liste (Spécialité ORL par ex), le pouls signale qu’elle contient ou non la maladie impliquée. Il ne reste qu’à ouvrir la liste et à détecter la maladie responsable de la résonance du titre. La maladie a donc propagé sa résonance au Titre lui-même. Quelle spécificité informative !
Tests diagnostiques en l’absence du patient
La subtilité de la Pulsologie est telle que
le malade peut être remplacé par sa Photo détourée ou le Prénom du malade écrit en noir sur fond blanc (placés à gauche de l’écran – ouverts avec Paint).
La liste des maladies à scanner est à droite de l’écran.
Le détecteur balaie la liste à la recherche de résonances, spécifiques au malade.
Impératif : le praticien est neutralisé par son Bristol sternal (supra).
Thérapeute, non Pulsologue
Si ce dernier envisage une éventuelle maladie, il peut directement y exposer son malade. Et si le pouls bat avec force, il a la preuve que son intuition était bonne. Certes ces forts battements doivent durer une demi-minute pour que le diagnostic soit bien ciblé ; s’il ne dure que six à 10 secondes, il reste accessoire.
Les causes d’échecs.
Un diagnostic inexact.
Pour le Pulsologue. Un patient qui arrive en voiture est pollué par le champ magnétique de l’alternateur du moteur. Je l’expose en priorité, dès son arrivée, à la Labradorite, pour calmer son pouls, avant de poursuivre tout examen.
Une intoxication alimentaire ou médicamenteuse : dans ce cas il faut exposer aussi le patient à la Labradorite dépolluante (en tête des rubriques) avant d’entamer l’exposition au programme principal.
Assez souvent, le remède bien choisi par le Pulsologue est le bon. Mais certains malades préfèrent qu’il soit prescrit et délivré par le pharmacien.
Le médicament réel diffère du Biofilm. Il suffit d’ouvrir un blister (c’est rapide) et il agit d’une manière plus prolongée.
Le seul Motfilm d’une maladie a presque toujours besoin d’autres Motfilms pharmacologiques d'appoint – voir site de remedes-numeriques.com.
Effets secondaires.
Un Biofilm mal indiqué serait-il apte à induire des effets secondaires ? Si l’indication est vraiment mauvaise, l’exposition-test est limitée en temps et en nombre de séances ; l’effet polluant est donc très relatif.
En cas de trouble, il suffit de s’exposer à la Labradorite numérisée pour que tout rentre dans l’ordre : elle se trouve en tête de liste N°00 « Labradorite Dépolluante ».
De plus, quand un Motfilm induit une réaction secondaire, cet effet peut être neutralisé par ce Motfilm retourné de 180°, via Paint.
Finalement l’exposition aux champs informatifs n’est suivie d’aucun effet secondaire irréversible. Ne sont reconnues et captées que les bonnes informations thérapeutiques regroupées dans le programme ciblé. Et cette résonance ne vaut que pour le malade et non pour son entourage.
Il n’y a plus qu’à essayer
Saisissons bien que ce n’est pas l’image elle-même qui agit mais les champs informatifs transférés par elle, via l’écran. De même que ce ne sont pas les mains du magnétiseur qui soignent mais le « fluide », le Biochamp que ses doigts dégagent. Pour illustrer ces soins digitalisés, les « soins numérisés » vous sont donc proposés.
Via l’onglet « Nous contacter » vous pouvez commenter et nous répondrons.
Ce site de recherches permet des mises à jour. D’où sa gratuité.
Dr Jean-Claude Toureng
2 / English patch 2023 07 20
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(Digitalised Treatments)
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