CHAMPS BIOLOGIQUES
2024 03 21
Mise à jour
1/ Français :
Les Soins Numérisés que nous proposons en libre-service sont simples d’emploi. Ils reposent sur l’exposition du malade à des champs informatifs propres émis par l’écran d’un PC.
Devant un Biofilm, un "Infofilm", qui est un programme de champ biologique bénéfique, le pouls se met à battre avec force (sans s’accélérer). L'étude de ces champs repose en effet sur le Pouls de Nogier: www.pulsologie.com.
Ces soins sont complémentaires des traitements classiques. Ils entrent dans le cadre des « Thérapies Suppléantes ».
Champs Informatifs : définition.
Ces champs immatériels émanent donc de tous les êtres vivants mais aussi de leurs représentants biologiques que sont les médicaments. Ils s’apparentent aux champs informatifs comme ceux émis par les granules homéopathiques en haute dilution, qui sont affranchis de toute matière hors leur support (granules).
Ces champs ne sont pas isolables à l’état pur mais les champs électromagnétiques porteurs les renforcent. Les écrans de PC témoignent de ces Infochamps biologiques à travers les effets cliniques qui accompagnent les expositions des malades aux Biochamps spécifiques.
Les couleurs fréquentielles, électromagnétiques, portent aussi ces champs. Ces Infochamps sont indépendants des fréquences (des couleurs).
De la peau émane le point d’acupuncture. Depuis un siècle aucun microscope n’a pu révéler la moindre structure cutanée évocatrice d’un point d’acupuncture et pourtant ils existent.
Certaines compositions musicales, les œuvres d’Allegri, de Tomas Luis de Victoria, de Pergolèse, de Palestrina ou de Monteverdi, par exemple, sont également aptes à induire une grande sérénité. La spiritualité du compositeur transcende mystérieusement la mélodie plus que celle de son interprète.
Nous entrons de plain-pied dans un monde « hors-scientifique » dès lors qu’aucune approche technique moderne n’arrive à appréhender ces phénomènes qui viennent de la nuit des temps (acupuncture) et qui bravent la pensée rationnelle. Ces champs informatifs nous échappent puisqu’ils ne peuvent être captés isolément, ni enregistrés sur papier ou se laisser voir à l'état pur sur l'écran d'un PC.
La réalité scientifique est limitée aux observations « visuelles », vérifiables, reproductives, non réfutables. Les champs informatifs émanent d’une réalité à la fois invisible et signifiante ; ils ne sont décelés que de manière « tactile » via la palpation du pouls radial (de tout l’arbre artériel plus généralement).
Ces champs informatifs, comme le pouls radial, procèdent de la Vie, mais aussi du Verbe et de chaque Mot.
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Magnétiseurs.
Les magnétiseurs sont aptes, non seulement à émettre des champs favorables, mais ils captent aussi, à proximité de la peau, des informations issues des organes sous-jacents en souffrance, ce qui leur permet une approche du site pathologique. Les tissus émettent donc des Biochamps qui informent le magnétiseur.
Ces praticiens doivent aussi endurer les champs pathologiques « négatifs » émis par certains malades : ils ressentent une sorte d’épuisement. Ils sont alors amenés à se régénérer eux-mêmes avec un cristal de Labradorite dont ils se frottent les mains chaque jour.
Bien sûr, les champs bénéfiques émis sont très variables d’un magnétiseur à l’autre. Leur « pénétration » est aussi une variable.
Nous sommes ici dans le domaine de l’agrément, de la confiance, voire de la fascination, domaine pour lequel certains n’y voient qu’effet placebo…
Il ne faut pas nier cet effet placébo qui peut être aussi efficace qu’un vrai médicament. Il faut aussi concevoir que « L’absence de preuve de l’existence de ces champs informatifs ne prouve pas que leur effet soit absent » comme disent les biostatisticiens ; ou comme le dit Carl Sagan : « absence of evidence is not evidence of absence ».
Enregistrement des Champs Biologiques.
Les progrès des techniques (l'informatique) nous permettent d’enregistrer les Biochamps et de les amplifier.
Les ordinateurs réalisent la liaison, l’interface entre les champs électromagnétiques et les champs biologiques. Pour être plus précis, ces champs biologiques ne sont pas perceptibles par les instruments de physique classiques. Mais leurs informations peuvent être transportées par les champs EM qui leur servent de support, de vecteur.
D’autres avant nous ont exploré cette voie. Il suffit de prendre connaissance des travaux de J. Benveniste et de ceux du Pr L. Montagnier, son prolongateur, pour comprendre qu’une substance, un brin d’ADN z, peut délivrer une information laquelle est captée par voie EM ; en sens inverse, cette information est alors apte à engendrer une copie de l’ADN z initial.
Cette expérience de L. Montagnier avait été filmée et diffusée sur YouTube :
https://www.youtube.com/watch?v=a_2_Qap3G1s
Mais, ces travaux sont considérés avec une grande réserve par les scientifiques purs. Est-ce pour cela que la vidéo n’est plus disponible ? Des expériences plus récentes auraient-elles démenti, réfuté cette vidéo ?
Retenons qu’entre l’ADN z initial et l’ADN z’ le message avait été transmis par téléphone dans un Labo situé à grande distance du premier (500KM).
Champs EM et Champs Biologiques.
C’est ici que nous divergeons. Les auteurs précités se sont focalisés sur les champs EM. Ils considèrent que l’information encodée est de nature purement EM.
Pour J. Benveniste et L. Montagnier, l’information n’émane que des substances diluées dans un mélange hydroalcoolique et dynamisées entre 6 et 10 DH.
Ceci les a orientés vers la théorie de « la mémoire de l’eau » où l’eau joue un rôle essentiel par ses particularités constitutionnelles.
Notre conception diffère. Les champs informatifs, dans lesquels les êtres vivants baignent, sont en amont des Champs EM porteurs. Il n’y a pas de "créneau de dilution" car l’eau n’est pas l’intermédiaire obligé.
Champs biologiques favorables.
Parmi les champs biologiques, véhiculés par les champs EM, s’en trouvent des bénéfiques. Tout dépend de la famille de ces champs, de leur origine et des sujets qui les reçoivent.
Les champs biologiques purs et favorables sont bien identifiables dans la nature. Ils sont à l’origine de ces arbres isolés, issus de nulle part et qui font repère dans certaines régions désolées voire désertiques.
On retrouve aussi ces champs biologiques au milieu des prairies sous forme de cercles (dits de sorcière). L’herbe est bien plus verte et plus haute qu’au centre ou en périphérie ; il y a aussi les cercles de champignons (mousserons), surnommés "ronds de sorcières".
Nous sommes parvenus à identifier ces champs informatifs. Certes, nous n’énoncerons pas, ici, les multiples étapes qui nous ont fait progresser, qui résultent du pouls de Nogier, et qui nous ont permis d’isoler les Infochamps, mais nous pouvons garantir qu’ils relèvent d’une approche biologique, pulsologique et donc clinique..
Maladies améliorées par les champs biologiques.
Notre étude a consisté à repérer, répertorier, via le pouls, les champs informatifs aptes à corriger un certain nombre de Pathologies courantes plus ou moins sévères.
Ces champs biologiques enregistrés sont issus, à l’origine, de tissus pathologiques, et de substances pharmacologiques chimiques, (voir www.remedes-numeriques.com ) dès lors que leur Nom est bien défini.
Parmi les pathologies fréquentes, certaines sont faciles à traiter par exposition à leurs propres champs informatifs, d’autres sont bien plus difficiles.
Il va de soi que les pathologies oncologiques (cancers) sont peu de notre ressort ; nous osons cependant proposer, sur le site « remedes-numeriques.com » des « Biofilms » ou « Infofilms » de nombreux médicaments numériques oncologiques afin de pouvoir choisir, via le pouls, les remèdes les mieux ciblés, les plus adaptés pour l'individu atteint.
Il en va de même pour les lésions traumatiques : les champs favorables à la consolidation d’une fracture passent bien après l’intervention orthopédique.
Les anomalies génétiques s’éloignent de notre domaine. Certes leurs Biofilms nous permettent de poser un diagnostic. Mais sur le plan thérapeutique, nous tentons de nous appuyer sur les gènes responsables isolés et nous proposons, pour l’Autisme par exemple, des Biofilms issus des six gènes actuellement connus.
Entre une sinusite, une grippe bénigne et des pathologies plus chroniques, il y a de nombreux degrés. Il y a aussi une différence entre les maladies compensées (le malade se défend) et les décompensées (l’organisme perd pied).
Les expositions que nous proposons seront donc plus ou moins efficaces et devront être poursuivies plus ou moins longtemps, mais, disons-le, certains Infofilms sont assez « encourageants ». Notre rôle est de complémenter les traitements déjà instaurés.
Les Biofilms rétablissent l’équilibre des malades en neutralisant leur déséquilibre pathologique. Certes dans les cas chroniques, la nature pathologique reprend ses droits et une nouvelle exposition aux Biofilms favorables s’impose. Nous ne prétendons pas guérir mais soulager souvent certaines maladies.
Les Motchamps
Nous avons dit, supra, que les champs informatifs procèdent de la Vie, mais aussi du Verbe et de chaque Mot. Ceci est une mutation de notre recherche.
Nos précédents Biofilms émanaient d’un point central zoomé.
Ce point se présentait comme le « noyau » de la Bande passante audio ou de toute photo d’image pathologique. Il était repéré avec un détecteur particulier. Son amplification (zoom) était censée marginaliser l’image environnante au profit de ce noyau. Et il m’apporta de substantiels résultats thérapeutiques…
Puis nous sommes passés au Mot bien cadré. La photo d’une rougeole par exemple fut remplacée par le mot « Rougeole ».. Avec étonnement nous avons constaté que ce mot avait lui aussi un point central qui pouvait être exploité comme ci-dessus. Nous avons seulement été intrigués de noter que ce foyer résonnait bien au survol d’un détecteur mais qu’assez souvent, pour d’autres Mots, la résonance se faisait « en halo » comme en regard d’un point en creux (pseudo-résonance) … Ceci m’amena à m’interroger sur la pertinence de mes stylo-détecteurs.
Détecteur biologique de premier plan : le Médius
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J’en revins alors au détecteur biologique que j’avais décrit, il y a bien longtemps, à propos de la division en damier de 32 champs cutanés du corps. Le Médius de ma main D a cette capacité, à son extrémité, de résumer les 4 champs basiques du damier crânien ; il en va de même du Médius G et des médius des orteils.
Par survol de mon médius sur les mots-cadrés, je retrouvais deux types de Mots : ceux dont le centre, au milieu, pulse fort (mot B) et ceux dont les extrémités pulsent fort (mot A).
Et en approfondissant l’analyse, le Mot B écrit Noir sur Blanc, émet, à l’intérieur du cadre, quatre champs : L = pulsation en Long, T = en Travers, ligne supérieure D = pouls en biais, supérieure G en biais inversé.
Ce mot de type B se caractérise par son état oscillant. Pour l’angle droit inférieur par exemple, les 6 pulsations L (en long) sont suivies de 6 pulsations T (en travers). Les 3 autres angles se métamorphosent simultanément ; puis retour à l’état initial.
En bref, le Mot B pulse fort, via le Médius, au centre dès le début de la mesure, mais après 4 à 8 pulsations, ce sont les deux extrémités qui résonnent ; et l’alternance oscillante se poursuit.
Ces Motfilms délivrent la même information, en plus intense, que les biofilms précédents
Dans l’exemple donné « Mot » appartient au groupe B.
Si j’analyse un antiseptique comme Ercéfuryl pivoté de 180° je suis en présence d’un Motfilm A : le médius révèle que T, L ou Obliques sont perceptibles aux 4 coins internes du Mot.
Mais ici les 4 angles sont fixes, n’oscillent pas.
Les Motfilms A et B ne sont jamais mélangés dans une même série.
Il faut noter que le mot peut être composé : « générique-spécialité ». Mais si jamais il y a erreur sur l’un d’eux, le médius ne perçoit plus rien !
Le Mot mal défini, A au lieu de B, devient aussi insensé. Dans l’exemple donné, « Mot » appartient au groupe B. Si je le transforme en Motfilm A, tout se délite : le médius révèle que tout « oscille », signe d’incohérence : T, L ou Obliques ne sont plus perceptibles.
Deux sous-groupes :
Ce sont les deux précédents pivotés de 180°
Il n’existe qu’une seule configuration active A ou B. Chacune est divisible en 4 champs internes via le médius.
Après le Pivot de 180° de ces deux derniers mots, les quatre champs internes se retrouvent sous forme retardée : l’oscillation commence par la phase de silence.
Note : le praticien est neutralisé (voir infra).
Les allergènes respiratoires ou alimentaires ne sont actifs que sous forme pivotée.
Il en va de même pour les Bactéries.
Mais il est souvent plus pertinent, en phase aiguë, d’avoir recours à la Maladie induite comme « allergie-aux-plumes » plutôt qu’à « Plumes » qui ne vise qu’à désensibiliser.
Ceci montre qu’il faut dissocier l’agent pathogène et la maladie, induite par cet agent.
Les Homéopathiques en 12CH sont à part, ils forment à eux seuls un ensemble que l’on peut appeler groupe C. Particularité, ils ne se subdivisent pas en A et B.
Ils ne sont actifs que sous la forme suivante :
Exemple : Rhus Toxicodendron 12CH se présente à la fois en Blanc sur Noir avec pivot à 180°.
C’est une singularité, au regard des Motfilms de pathologie et de médicaments (voir remedes-numeriques.com ).
Les substances pharmacologiques ne se présentent que sous deux formes majeures.
Dans le groupe A se trouvent les B/N et dans le groupe B se voient les B/B. Dans les 2 cas une résonance se retrouve au médius. Il y a donc une harmonie totale des champs du « Mot », ce qui favorise les tests de remèdes.
Le Mot procède du Vivant et le Vivant procède du Mot, quelle que soit la langue, dès lors que le mot porte et soutient une entité précise, comme le médicament générique l’est.
Le Nom générique ou celui d’une spécialité médicinale résonne parfaitement avec la photo des gélules du médicament, voire la photo de son emballage qui porte son Nom.
Expérience simple : afficher sur le PC le Nom du médicament à D de l’écran et la photo du même médicament à G, sans contact des images ; le survol à distance avec le Médius D révèle la forte résonance qui unit les deux images ; si l’une d’elles est retirée de l’écran, toute résonance au pouls disparaît ; elle s’évanouit aussi si le Nom ne correspond pas à l’image.
Réaction d’écart d’un médicament sur PC
Cette digression sur les "remèdes" est nécessaire avant d’aborder les Soins-numérisés.
Pour bien les comprendre il faut se reporter à la réaction d’écart bien décrite sur le site de Pulologie.com.
-Quand on tient un médicament réel entre les doigts, si le pouls réagit au contact de ce médicament avec le thorax, il est nocif ; inversement quand le pouls réagit à l’éloignement du corps (en tendant le bras devant soi), il est bénéfique ; une résonance proximale est néfaste, une résonance distale est favorable.
-Revenons aux substances-Mots. Au cours d’un test sur l’écran, nous avons côte à côte le Prénom du malade et les médicaments, affichés sans contact entre eux.
Si nous survolons les listes de médicaments à proximité, avec le détecteur A ou B, nous constatons une résonance. Mais cette résonance « auprès » est-elle signe de nocivité ou bien est-elle signe de bienfaisance ou autre chose pour le malade ? Pour en avoir une certitude une résonance « à l’écart » est nécessaire…
Comment procéder avec le PC ?
Nous savons que le Nom du malade est inscrit – via Paint – sur la gauche de l’écran, la liste des médicaments étant à droite. Or ce Nom du malade est capital, et Paint aussi qui permet des Zoom extrêmes. Si le zoom est au minimum, presqu’à zéro, le Nom du Malade se comporte comme s’il était loin : les remèdes résonants sont favorables (résonance par trains successifs). Inversement, si le Zoom est au maximum, le Nom très gros se comporte comme une grande proximité, presqu’un contact, et les substances résonantes sont néfastes (résonance en un seul train).
L’usage du stylo-détecteur A ou B doit être précisé. Le A convient pour les listes A et le B pour les séries B.
Note : si le nom du malade est en trop grand format, il y a risque de révéler une substance nocive. Bref, le détecteur A ne convient à la liste homologue A que si le Nom du malade est zoomé au minimum.
Précisions concernant le Prénom-N du malade. : si nous cherchons un remède dans une liste A, le Prénom du malade doit être A.
Idem pour une photo du visage : pour un remède A la photo doit être A (par inversion de couleur).
Au total le Prénom s’affiche sous 4 formes : A ou B, Micro-zoom ou macro-zoom.
Choisir la liste idoine, A ou B, avec le Stylo S.T.B.Roublev
En raison des interactions qui lient les détecteurs-stylos A et B, nous choisissons ce Stylo S.T.B.Roublev pour les départager. Ce dernier nous permet d’opter 1/ pour le Prénom du malade sous forme A ou B (via Paint) 2/ pour la liste de remèdes A ou B d’une même spécialité, au regard du Nom du malade situé à gauche de l’écran. Ce stylo résonne nettement avec la bonne liste. Et, selon celle-ci, le stylo A ou B est engagé.
Régulièrement, au prénom A correspond une liste A.
Un Pulsologue averti décèle, au sein d’une liste, le remède favorable.
Ceci est réservé aux médecins expérimentés ayant une bonne acuité tactile pour lire le pouls.
Ils verront que les pathologies (soins-numerises) et les médicaments (remedes-numeriques) sont listés en groupes A et B.
Ils commenceront par sélectionner le groupe A ou B via le stylo S.T.B.Roublev.
Deux stylos détecteurs A et B (N° 4 et 5) sont trouvés sur le site (00 Labradorite).
Le stylo A est induit par le Mot même : « Bout de Médius à 4 champs » pivoté à 180°. Toutes les substances A sont fixes.
Le Stylo B est induit par « Mot-oscillant ». Car toutes les substances B sont oscillantes.
En survolant les listes de remèdes avec la pointe du stylo, on obtient une résonance devant les remèdes favorables (voir supra).
Malade et praticien côte-à-côte
Le malade est placé devant l’écran. Le praticien est situé en retrait, en arrière-plan, et il est neutralisé (par un Bristol à son Nom regardant sur son sternum – schéma ci-dessous).
Pour découvrir les remèdes nécessaires, il doit éloigner le malade de l’écran : 4 à 6 mètres…ce qui n’est pas toujours réalisable…
Ceci nous a conduit à placer, en tête des spécialités, une capture de la liste (00) contenant sur une page tous les médicaments. Ce procédé de réduction de la taille des médicaments permet de faire les tests auprès de l’écran.
Tests de remèdes en l’absence du patient
La subtilité de la Pulsologie est telle que le malade peut être remplacé autant par sa photo que par son « Prénom-Nom », sous forme B ou A, zoomé au minimum. On peut ainsi afficher à G de l’écran ce prénom et à D la liste des médicaments à scanner. Le détecteur survole la liste à la recherche de résonances, spécifiques au malade.
Le Prénom-N. sous forme B, est écrit en noir sur blanc via Paint pour des remèdes B.
Le Prénom-N. sous forme A, subit une inversion de couleur de sa moitié inférieure (B/N) pour des remèdes A.
De même, la photo est naturelle pour les remèdes B et totalement inversée de couleur pour des remèdes A.
Impératif 1 : le praticien est neutralisé par son Bristol sternal (supra).
Impératif 2 : le praticien dispose d’un PC dont le clavier et l’écran sont filaires. Certes, je n’ai jamais fait de tests avec une souris ou un clavier sans fil de connexion avec le PC…Ceci est à faire.
Quittons maintenant de domaine des substances médicinales qui nous a permis d’intégrer le phénomène de le Réaction d’écart et abordons celui des Pathologies.
Certes, il aurait été plus logique d’établir un diagnostic avant d’accéder à la thérapeutique, mais l’évolution de notre recherche en a voulu ainsi.
Mode d’emploi des soins-numerises.
Diagnostic
Le Patient
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Il est représenté par son Prénom-et l’Initiale de son Nom de manière cadrée – via Paint. Sous forme A ou B, selon que le Prénom résonne aux extrémités ou au centre via le Médius.
Le patient peut aussi être remplacé par la photo détourée de son visage : ni le cou ni les oreilles ne doivent apparaître. La photo normale convient aux diagnostics B, la photo inversée de couleur via Paint est plus adaptée aux diagnostics A.
Dans le cadre des SOINS-numérisés, contrairement aux remèdes numériques, Le NOM du patient ou sa Photo doivent être zoomés en GRAND.
Le Praticien
Il doit être Neutre pour ne pas interférer. Il est annihilé via un Bristol N/N à son Nom qui pend à son cou ; le Nom regarde son sternum.
La Maladie
Le diagnostic repose sur la liste des maladies qui surviennent dans un domaine particulier, cardio-vasculaire par exemple. Cette liste est au centre droit de l’écran.
Nous choisissons la liste idoine, A ou B, avec le Stylo S.T.B.Roublev (voir supra).
Et avec le détecteur-stylo A ou B, nous survolons les diverses pathologies de la spécialité incriminée pour cibler la maladie dont souffre le malade.
Cette Maladie, qui résonne auprès, via le Prénom-N en grand format, devrait être considérée comme « nocive » selon les critères énoncés pour les remèdes. Mais, en l’occurrence, ces Motfilms Pathologiques se comportent comme des « vaccins ».
Il va sans dire qu’aucune résonance ne se produit en cas de pathologie rare, absente de la liste survolée.
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Thérapeutique
Le Motfilm de la « maladie » a un effet équilibrant. Lors de l’Exposition, on recueille un certain nombre de pulsations (20P par exemple) puis le silence se fait. Mais ce n’est qu’un début, une phase de silence apparaît, elle peut durer 20p à son tour puis les pulsations reprennent… La correction est oscillante et, très progressivement, chaque phase diminue, passe par 16P puis 12, puis 8, puis 4, puis 2 (+2/-2) jusqu’à zéro. L’Exposition est alors terminée. Notons que souvent, les phases de silence sont bien plus courtes que les phases actives.
A l’analyse, les phases actives pulsent en long, et les silencieuses en travers (faiblement) ; Notre interprétation : la phase active agirait comme un Sérum et la phase silencieuse comme un vaccin.
En début de traitement, selon la gravité des choses, l’Expo peut durer 15 minutes ou plus.
Mais au fil des jours, les Expos se renouvelant, le nombre des Pulsations initiales décroît.
Et quand aucune résonance n’est perçue, le malade est équilibré.
Cette exposition se caractérise par le fait que le Patient doit être AUPRÈS de l’écran (20 cm) pour que l’action soit bénéfique. L’écran peut même être en regard du foyer pathologique.
Homéopathie
Sur ce site se trouvent aussi nombre d’Homéopathiques en 12 CH.
Leurs Mots NB à 180° forment un groupe spécifique. Ils exigent un stylo-détecteur spécial.
Vu leur nombre, ils sont répartis en deux listes C I et C II.
Leurs listes sont initiées par 00 Homéo 12ch - C1 (ou 2).
Et ce dernier s’ouvre sur deux captures d’écran : forme lisible pour le Diagnostic (Dg) et forme pivotée à 180° pour la Thérapie d’exposition (Th). Ils agissent aussi comme des vaccins.
La sélection des Homéos se fait vis-à-vis d’un Prénom-N en grand format.
Après sélection, on doit s’exposer aux remèdes, auprès de l’écran.
Allergènes
Ils sont présentés sous forme A ou B et pivotés à 180°.
La sélection des Allergènes se fait vis-à-vis d’un Prénom-N en grand format.
L’exposition se fait aussi auprès de l’écran. Et les Motfilms à 180° agissent comme des désensibilisants.
Bactéries
Ce que nous venons de dire pour les allergènes vaut pour les Bactéries.
La sélection de la Bactérie se fait vis-à-vis d’un Prénom-N en grand format.
L’exposition se fait aussi auprès de l’écran. Et les Motfilms à 180° agissent comme des vaccins.
Du diagnostic à la thérapie
Le diagnostic de la maladie est établi par le médecin.
Le Motfilm pathologique, adapté au malade, s’affiche de manière visuelle.
Il est statique, immobile ; il envoie, via les champs EM porteurs de l’écran, une information spécifique.
Pour chaque maladie, un Motfilm est proposé qui cible de manière directe la pathologie en cours de traitement.
Plusieurs Motfilms sont nécessaires dans le cas du Covid. Infectiologie et complications : pathologies Cardio-vasculaires, Système nerveux central, Rhumato.
Dès le début de l'exposition le pouls bat fortement (si le Motfilm est bien ajusté). Pendant la durée d’imprégnation de l’organisme, des trains de forts battements du pouls sont interrompus par des phases de silence de plus en plus courtes ; quand le pouls est calmé, l’expo peut être arrêtée.
En pratique, le malade se place devant et auprès (20 à 30 cm) de l’écran et s’expose à chaque Motfilm, deux minutes au début, puis une ensuite, à raison d’une ou deux fois par jour.
Si aucune amélioration clinique ne se produit à l’issue d’une cure de cinq jours, on peut tout suspendre, le Motfilm n’est pas adapté.
Le diagnostic peut aussi être établi par un Pulsologue.
Ceci est réservé aux médecins expérimentés ayant une bonne acuité tactile pour lire le pouls.
Ils verront que les pathologies sont listées en groupes A et B.
Deux stylos détecteurs A et B (N° 4 et 5) sont trouvés sur le site (00 Labradorite).
Champs à induire sur un stylo en plastique une fois tous les 2 jours.
En survolant les listes de maladies avec la pointe du stylo idoine, on obtient une résonance avec le malade.
Revoyons comment.
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Malade et praticien côte-à-côte
Le malade est placé devant l’écran. Le praticien est situé en retrait, en arrière-plan, et il est neutralisé (par un Bristol à son Nom regardant son sternum – schéma ci-dessous).
Son propre pouls décèle par la force de ses battements la pathologie dont souffre le malade.
Une curiosité étonnante. Si la pointe du Médius survole le titre d’une liste (Spécialité ORL par ex), le pouls signale qu’elle contient ou non la maladie impliquée. Il ne reste qu’à ouvrir la liste et à détecter la maladie responsable de la résonance du titre. La maladie a donc propagé sa résonance au Titre lui-même. Quelle spécificité informative !
Tests diagnostiques en l’absence du patient
La subtilité de la Pulsologie est telle que le malade peut être remplacé par sa Photo détourée ou le Prénom du malade écrit sous forme A ou B (placés à gauche de l’écran – ouverts avec Paint).
La liste des maladies à scanner est à droite de l’écran.
Le détecteur survole la liste à la recherche de résonances, spécifiques au malade.
Impératif : le praticien est neutralisé par son Bristol sternal (supra).
Praticien, non Pulsologue
Tout praticien sachant prendre le pouls radial est apte à apprécier la force des pulsations.
Si ce dernier envisage une éventuelle maladie, il peut directement y exposer son malade. Et si le pouls bat avec force, il a la preuve que son intuition était bonne. Certes ces forts battements doivent durer une demi-minute pour que le diagnostic soit bien ciblé ; s’il ne dure que six à 10 secondes, il reste accessoire.
Thérapie en aveugle, sans prise de pouls
Le malade peut, s’exposer aux ensembles 00 Th (thérapeutique) qui initient les listes Pathologiques.
Cette liste est précédée des ensembles 00 Dg (Diagnostic) à 0°, qui est réservée à ceux qui prennent le pouls.
Ce procédé curieux révèle que le patient ne capte que les informations qui le concernent sans être affecté par les autres infos. Il reste toutefois dans l’ignorance du diagnostic.
Les causes d’échecs.
Un diagnostic inexact.
Pour le Pulsologue. Un patient qui arrive en voiture est pollué par le champ magnétique de l’alternateur du moteur. Je l’expose en priorité, dès son arrivée, à la Labradorite, pour calmer son pouls, avant de poursuivre tout examen.
Une intoxication alimentaire ou médicamenteuse : dans ce cas il faut exposer aussi le patient à la Labradorite dépolluante (en tête des rubriques) avant d’entamer l’exposition au programme principal.
Assez souvent, le remède bien choisi par le Pulsologue est le bon. Mais certains malades préfèrent qu’il soit prescrit et délivré par le pharmacien.
Le médicament réel diffère du Biofilm. Il suffit d’ouvrir un blister (c’est rapide) et il agit d’une manière plus prolongée.
Le seul Motfilm d’une maladie a presque toujours besoin d’autres Motfilms pharmacologiques d'appoint – voir site de remedes-numeriques.com.
Effets secondaires.
Un Biofilm mal indiqué serait-il apte à induire des effets secondaires ? Si l’indication est vraiment mauvaise, l’exposition-test ne donne aucune résonance.
Finalement l’exposition aux champs informatifs n’est suivie d’aucun effet secondaire irréversible. Ne sont reconnues et captées que les bonnes informations thérapeutiques. Et cette résonance ne vaut que pour le malade et non pour son entourage.
Il n’y a plus qu’à essayer
Saisissons bien que ce n’est pas l’image elle-même qui agit mais les champs informatifs transférés par elle, via l’écran. De même que ce ne sont pas les mains du magnétiseur qui soignent mais le « fluide », le Biochamp que ses doigts dégagent. Pour illustrer ces soins digitalisés, les « soins numérisés » vous sont donc proposés.
Via l’onglet « Nous contacter » vous pouvez commenter et nous répondrons.
Ce site de recherches permet des mises à jour. D’où sa gratuité.
Dr Jean-Claude Toureng
2 / English patch
INFORMATION FIELDS
(Digitalised Treatments)
Update 2024 03 21
The Digital Care that we offer on a self-service basis is easy to use. They are based on the patient's exposure to specific information fields emitted by a PC screen.
In front of a "Biofilm", or biological field, the pulse begins to beat forcefully (without accelerating) if the informative program it carries is beneficial to the patient. The study of these fields is based on Nogier's Pulse: www.pulsologie.com.
These treatments are complementary to conventional treatments. They fall within the scope of "Alternative Therapies".
Informative Fields: Definition.
These immaterial fields emanate from all living beings but also from their biological representatives, which are medicines. They are similar to the information fields emitted by homeopathic granules in high dilution, which are freed of any material outside their support (granules).
These fields are not isolable in their pure state, but the carrier electromagnetic fields reinforce them. PC screens bear witness to these biological Infofields through the clinical effects that accompany patients' exposures to specific Biofields. .
Frequency colors, electromagnetic, also carry these fields. These Infofields are independent of frequencies (colors).
From the skin emanates the acupuncture point. For a century, no microscope has been able to reveal the slightest skin structure suggestive of an acupuncture point, and yet they do exist.
Certain musical compositions, such as the works of Allegri, Tomas Luis de Victoria, Pergolesi, Palestrina or Monteverdi, for example, are also capable of inducing great serenity. The spirituality of the composer mysteriously transcends the melody more than that of its performer.
We are entering a "non-scientific" world as soon as no modern technical approach is able to grasp these phenomena that come from the dawn of time (acupuncture) and that defy rational thought. These information fields escape us because they cannot be captured in isolation, nor can they be recorded on paper or seen in their pure state on the screen of a PC.
Scientific reality is limited to "visual" observations, verifiable, reproductive, non-refutable. Informative fields emanate from a reality that is both invisible and meaningful; They are only detected in a "tactile" way via palpation of the radial pulse (of the entire arterial tree more generally).
These informative fields, like the pulse, proceed from Life, but also from the Word and emanate from each Word.
Magnetizers.
Magnetizers are not only able to emit favourable fields, but they also pick up information from the underlying organs in pain near the skin, which allows them to approach the pathological site. The tissues therefore emit Biofields that inform the magnetizer.
These practitioners also have to endure the "negative" pathological fields emitted by some patients: they feel a kind of exhaustion. They are then led to regenerate themselves with a Labradorite crystal with which they rub their hands every day.
Of course, the beneficial fields emitted are highly variable from one magnetizer to another. Their "penetration" is also a variable.
Here we are in the realm of pleasure, trust, even fascination, an area for which some see only a placebo effect...
There is no denying this placebo effect, which can be as effective as a real drug. It is also necessary to conceive that "the absence of evidence for the existence of these information fields does not prove that their effect is absent" as biostatisticians say; or as Carl Sagan puts it: "absence of evidence is not evidence of absence".
Registration of Biological
Advances in technology (computer science) allow us to record Biofields and amplify them.
Computers make the connection, the interface between electromagnetic fields and information fields. To be more precise, these biological fields are not perceptible by classical physics instruments. But their information can be transported by the EM fields that serve as a support, a vector.
Others before us have explored this path. It is enough to read the work of J. Benveniste and that of Prof. L. Montagnier, his extender, to understand that a substance, a strand of z-DNA, can deliver information that is captured by EM; conversely, this information is then able to generate a copy of the initial z-DNA. This experiment by L. Montagnier was filmed and broadcast on YouTube:https://www.youtube.com/watch?v=a_2_Qap3G1s But, this work is regarded with great reserve by hardcore scientists. Is that why the video is no longer available? Would more recent experiments have refuted or refuted this video?
It should be remembered that between the initial z-DNA and the z' DNA, the message had been transmitted by telephone in a laboratory located at a great distance from the first (500KM).
EM Fields and Biological Fields.
This is where we diverge. The above-mentioned authors have focused on EM fields. They consider the encoded information to be purely EM in nature.
For J. Benveniste and L. Montagnier, the information only comes from substances diluted in a hydroalcoholic mixture and energized between 6 and 10 DH.
This led them to the theory of the "memory of water" in which water plays an essential role through its constitutional peculiarities.
Our design differs. The information fields, in which living beings are bathed, are upstream of the carrier EM fields. There is no "dilution window" because water is not the obligatory intermediary.
Favorable biological fields.
Among the biological fields, conveyed by the EM fields, there are beneficial ones. It all depends on the family of these fields, their origin and the subjects that receive them.
Pure and favorable biological fields are well identifiable in nature. They are at the origin of these isolated trees, which come out of nowhere and which are landmarks in certain desolate or even desert regions.
These biological fields can also be found in the middle of the meadows in the form of circles (known as witch circles). The grass is much greener and taller than in the centre or on the periphery; There are also mushroom circles (mushroom mushrooms), nicknamed "witches' circles".
We were able to identify these informative fields. Of course, we will not state here the multiple steps that have made us progress, which result from Nogier's pulse, and which have allowed us to isolate the Infochamps, but we can guarantee that they are based on a biological, pulsological and therefore clinical approach.
Diseases enhanced by biological fields.
Our study consisted of identifying and cataloguing, via the pulse, the information fields capable of correcting a certain number of common more or less severe pathologies.
These registered biological fields are originally derived from pathological tissues and chemical pharmacological substances (see www.remedes-numeriques.com ) as long as their name is well defined.
Among the common pathologies, some are easy to treat by exposure to their own information fields, others are much more difficult.
It goes without saying that oncological pathologies (cancers) are not very relevant to us; However, we dare to offer, on the "remedes-numeriques.com" site of the "Biofilms" or "Infofilms" many digital oncology drugs in order to be able to choose, via the pulse, the best targeted remedies, the most suitable for the affected individual.
The same is true for traumatic injuries: the fields favourable to the consolidation of a fracture pass well after the orthopaedic procedure.
Genetic abnormalities are moving away from our domain. Certainly, their Biofilms allow us to make a diagnosis. But therapeutically, we try to rely on isolated causative genes and we propose, for autism for example, biofilms from the six currently known genes.
Between sinusitis, mild flu and more chronic pathologies, there are many degrees. There is also a difference between compensated illnesses (the patient defends itself) and decompensated illnesses (the body loses its footing).
The exhibitions we propose will therefore be more or less effective and will have to be continued for more or less time, but, let's face it, some Infofilms are quite "encouraging". Our role is to complement the treatments already in place.
Biofilms restore the balance of patients by neutralizing their pathological imbalance. Of course, in chronic cases, the pathological nature reasserts itself and a new exposure to favorable Biofilms is necessary. We do not claim to cure but often alleviate certain diseases.
The Word-Fields
We have said above that the informative fields proceed from Life, but also from the Word and from each Word. This is a mutation of our research.
Our previous Biofilms emanated from a zoomed-in center point. This point presented itself as the "core" of the audio bandwidth or any pathological image photo. He was spotted with a peculiar detector. Its amplification (zoom) was supposed to marginalize the surrounding image in favor of this core. And it brought me substantial therapeutic results...
Then we moved on to the well-framed Word. The picture of a measles, for example, was replaced by the word "Measles". To our astonishment we found that this word also had a focus, a central point, which could be exploited as above. We were only intrigued to note that this focus resonated well when flying over a detector but that quite often, for other Words, the resonance was "halo" as if in front of a hollow point (pseudo-resonance)... This led me to question the relevance of my detector pens.
Leading biological detector: the Médius (or Middle Finger)
I then returned to the biological detector that I had described, a few decades ago, about the checkerboard division of 32 skin fields in the body. The Medius of my hand D has this ability, at its end, to summarize the 4 basic fields of the cranial checkerboard; the same is true of the G middle and the toe media.
By overview of my middle finger sur les mots-cadrés, je retrouvais deux types de Mots : ceux dont le centre, au milieu, pulse fort (mot B) et ceux dont les extrémités pulsent fort (mot A).
Et en approfondissant l’analyse, le Mot B écrit Noir sur Blanc, émet, à l’intérieur du cadre, four champs : L = pulsation en Long, T = en Travers, ligne supérieure D = pouls en biais, supérieure G en biais inversé.
This type B word is characterized by its oscillating state. For the lower right angle, for example, the 6 pulsations L (lengthwise) are followed by 6 pulsations T (across). The other 3 angles metamorphose simultaneously; then return to the initial state.
In short, the B-Word pulses strongly, via the Medius, in the center from the beginning of the bar, but after 4 to 8 pulsations, it is the two ends that resonate; and the oscillating alternation continues.
These Motfilms deliver the same information, but more intense, than the previous biofilms
In the example given, "Word" belongs to group B.
If I analyze an antiseptic like Ercefuryl, rotated 180°, I am in the presence of a Motfilm A: the middle reveals that T, L or Obliques are perceptible at the 4 inner corners of the Word.
But here the 4 angles are fixed, not oscillating.
Wordfilms A and B are never mixed in the same series.
It should be noted that the word can be compounded : "generic-specialty". But if there is ever a mistake on one of them, the middle finger no longer perceives anything! The ill-defined word, A instead of B, also becomes senseless. In the example given, "Word" belongs to group B. If I transform it into Motfilm A, everything falls apart: the middle reveals that everything "oscillates", a sign of incoherence: T, L or Obliques are no longer perceptible.
Two subgroups:
These are the two previous ones rotated 180°
There is only
one active configuration, A or B. Each is divisible into 4 internal fields via the middle finger. After the 180° pivot of these last two words, the four internal fields are found in delayed form: the oscillation
begins with the silence phase.
Note: the practitioner is neutralized (see below).
Respiratory or
food allergens are only active in rotated form.
The same goes for Bacteria.
But it is often more relevant, in the acute phase, to use the induced disease as a "feather allergy" rather than "feathers" which only aims to desensitize.
This shows that it is necessary to dissociate the pathogen from the disease, induced by this agent.
Homeopathics in 12CH are different, they form a group that can be called group C. A special feature is that they are not subdivided into A and B.
They are only active in the following form;
Example: Rhus Toxicodendron 12CH comes in both
White on Black with 180° pivot. This is a
peculiarity, with regard to the Motfilms of pathology and drugs (see remedes-numeriques.com ).
Pharmacological
substances come in only two major forms.
In group A are the
B/N and in group B are the
B/Bs. In both cases, a resonance is found in the middle of the story. There is therefore a total harmony of the fields of the "Word", which favors the testing of remedies.
The Word proceeds from the Living and the Living proceeds from the Word, whatever the language, as long as the word carries and supports a specific entity, as the generic drug is.
The generic name or that of a medicinal specialty resonates perfectly with the photo of the drug's capsules, or even the photo of its packaging that bears its name.
Simple experiment: display on the PC the Name of the drug at D on the screen and the photo of the same drug at G, without contact of the images; the remote hover with the Medius D reveals the strong resonance that unites the two images; if one of them is removed from the screen, all resonance to the pulse disappears;; it also vanishes if the Name does not match the image.
Particularity of certain specialties (digital-remedies)
The direct "cure" represents the direct infofilm.
"180° remedies" are only for allergic substances.
Deviation reaction of a drug on PC
This digression on "cures" is necessary before addressing Digitalized Care.
Pour bien les comprendre il faut se reporter à la réaction d’écart bien décrite sur le site de Pulologie.com.
-When one holds a real drug between the fingers, if the pulse reacts to the contact of this drug with the chest, it is harmful; conversely when the pulse reacts to the distance from the body (by extending the arm in front of oneself), it is beneficial; proximal resonance is harmful, distal resonance is favorable.
Let's go back to the Word-Substances. During a test on the screen, we have the patient's first name and the medicines side by side, displayed without contact with each other. If we hover over the lists of drugs nearby, with detector A or B, we see a resonance. But is this resonance "with" a sign of harmfulness or is it a sign of beneficence or something else for the patient? To be sure of this, a "sideways" resonance is necessary...
How do I do this with the PC?
We know that the patient's name is written – via Paint – on the left side of the screen, with the list of medicines on the right. However, this Name of the Patient is crucial, and so is Paint, which allows extreme zooming. If the zoom is at a minimum, almost at zero, the Name of the Sick Behaves as if it were far away: resonant remedies are favorable (resonance by successive trains). Conversely, if the Zoom is at maximum, the very large Name behaves like a close proximity, almost a contact, and the resonant substances are harmful (resonance in a single train).
The use of detector pen A or B must be specified. The A is suitable for the A lists and the B for the B series.
Note : If the patient's name is too large, there is a risk that a harmful substance may be revealed. In short, detector A is only suitable for peer list A if the patient's name is zoomed in at a minimum.
Details about the patient's First Name-N. : if we are looking for a cure in a list A, the patient's First Name must be A. Same for a photo of the face: for a remedy A the photo must be A (by color inversion).
In total, the First Name is displayed in 4 forms: A or B, Micro-zoom or macro-zoom.
Choose the right list, A or B, with the S.T.B.Rublev Pen
Because of the interactions between Pen Detectors A and B, we choose this S.T.B.Rublev Pen to decide between them. The latter allows us to choose 1/ for the patient's First Name in form A or B (via Paint) 2/ for the list of A or B remedies of the same specialty, next to the patient's Name located on the left of the screen. This pen clearly resonates with the right list. And, depending on it, pen A or B is engaged.
Regularly, first name A is matched by a list A.
A knowledgeable pulsologist detects the favorable remedy from a list.
This is reserved for experienced doctors with good tactile acuity to read the pulse.
They will see that pathologies (digital care) and drugs (digital cures) are listed in groups A and B. They will start by selecting group A or B via the S.T.B.Rublev pen.
Two detector pens A and B (Nos. 4 and 5) were found at the site (00 Labradorite).
Pen A is induced by the very word: "4-field end of media" rotated 180°. All A substances are fixed.
Pen B is induced by "Word-Oscillating". Because all B substances are oscillating. By hovering over the lists of remedies with the tip of the pen, one obtains a resonance in front of the favorable remedies (see above).
Patient and Practitioner Side by Side
The patient is placed in front of the screen. The practitioner is set back, in the background, and he is neutralized (by a Bristol with his name looking at his sternum – diagram below).
To discover the necessary remedies, he had to move the patient away from the screen: 4 to 6 meters... which is not always achievable... This led us to place, at the top of the specialties, a screenshot of the list (00) containing all the drugs on one page. This process of reducing the size of the drugs allows the tests to be carried out on the screen.
Testing remedies in the absence of the patient
The subtlety of Pulsology is such that the patient can be replaced by his photo as well as by his "First Name-Last Name", in B or A form, zoomed in at a minimum. In this way, the first name can be displayed on the G of the screen and the list of drugs to be scanned on the D side. The detector skips over the list in search of resonances, specific to the patient.
The first name-n. in B form, is written in black and white via Paint for B remedies.
The first name-n. in A form, undergoes a color inversion of its lower half (B/N) for A remedies.
Similarly, the photo is natural for B remedies and totally inverted color for A remedies.
Imperative 1: The practitioner is neutralized by his sternal Bristol (supra).
Imperative 2: The practitioner has a PC with a wired keyboard and screen. Admittedly, I've never done any tests with a wireless mouse or keyboard connecting to the PC... This is to be done.
Let us now leave the field of medicinal substances that has allowed us to integrate the phenomenon of the Deviation Reaction and address that of Pathologies.
Of course, it would have made more sense to make a diagnosis before accessing therapeutics, but the evolution of our research has meant that.
How to use Digitalized Care.
Diagnostic
The patient.
He is represented by his First Name – and the Initial of his Last Name – in a framed way – via Paint. In A or B form, depending on whether the First Name resonates at the extremities or in the center via the Medius.
The patient can also be replaced by a cropped photo of his face: neither the neck nor the ears should be visible. The normal photo is suitable for B diagnostics, the color inverted photo via Paint is more suitable for A diagnostics.
In the context of CARE-digitized, unlike digital remedies, the patient's NAME or photo must be zoomed WIDE.
The Practitioner
It must be Neutral so as not to interfere. He is annihilated via a Bristol N/N to his Name that hangs from his neck; the Name looks at his sternum.
The Disease
Diagnosis is based on the list of diseases that occur in a particular area, such as cardiovascular. This list is in the center right of the screen.
We choose the right list, A or B, with the S.T.B.Rublev Pen (see above). And with the A or B pen detector, we can skim over the various pathologies of the offending specialty to target the disease from which the patient suffers.
This disease, which resonates with the N-Name in large format, should be considered "harmful" according to the criteria set forth for cures. But, in this case, these pathological Motfilms behave like "vaccines".
It goes without saying that no resonance occurs in the case of a rare pathology, which is absent from the list skimmed.
Therapeutic
The Motfilm of "disease" has a balancing effect. During the Exhibition, a certain number of pulses are collected (20P for example) and then silence is made. But this is only the beginning, a phase of silence appears, it can last 20p in turn and then the pulsations resume... The correction is oscillating and, very gradually, each phase decreases, passing through 16P then 12, then 8, then 4, then 2 (+2/-2) until zero. The Exhibition is then over. It should be noted that often the silence phases are much shorter than the active phases.
On analysis, the active phases pulse lengthwise, and the silent ones crosswise (weakly); Our interpretation: the active phase acts as a serum and the silent phase as a vaccine.
At the beginning of treatment, depending on the severity of the treatment, the Expo can last 15 minutes or more.
But as the days went by, as the Expos were renewed, the number of initial Pulsations decreased. And when no resonance is perceived, the patient is balanced.
This exposure is characterized by the fact that the Patient must be close to the screen (20 cm) for the action to be beneficial. The screen may even be next to the pathological focus.
Homeopathy
On this site there are also a number of Homeopathics in 12 CH.
Their 180° NB Words form a specific group. They require a special detector pen.
In view of their number, they are divided into two lists, C I and C II.
Their lists are initiated by 00 Homeo 12ch - C1 (or 2). And the latter opens with two screenshots: readable shape for Diagnosis (Dg) and 180° rotated shape for Exposure Therapy (Th). They also act as vaccines.
The selection of the Homeos is made in relation to a large format N-Name.
After selection, one must expose oneself to the remedies, close to the screen.
Allergens
They are presented in A or B form and rotated 180°.
The selection of Allergens is made with regard to a large format N-Name.
The exhibition is also done next to the screen. And the 180° Motfilms act as desensitizers.
Bacteria
What we have just said about allergens applies to bacteria.
The selection of the Bacterium is done in relation to a large format N-Name.
The exhibition is also done next to the screen. And the 180° Motfilms act like vaccines.
From diagnosis to therapy
1/ The diagnosis of the disease is made by the doctor.
The pathological Motfilm, adapted to the patient, is displayed visually.
It is static, immobile; it sends, via the EM fields on the screen, specific information.
For each disease, a Motfilm is proposed that directly targets the pathology being treated.
Several Motfilms are often necessary in the case of Covid. Infectiology and complications: Cardiovascular, Central nervous system, Rheumatologist.
From the beginning of the exhibition, the pulse beats strongly (if the Motfilm is properly adjusted). During the period of impregnation of the organism, trains of strong pulse beats are interrupted by shorter and shorter phases of silence; When the pulse has calmed down, exposure can be stopped.
In practice, the patient stands in front of and near the screen (20 to 30 cm) and exposes himself to each Motfilm, two minutes at first, then one thereafter, once or twice a day.
If there is no clinical improvement after a five-day treatment, everything can be suspended, the Motfilm is not suitable.
2/ The diagnosis made by a pulsologist.
This is reserved for experienced doctors with good tactile acuity to read the pulse. They will see that the pathologies are listed in groups A and B.
Two detector pens** A and B (Nos. 4 and 5) were found at the site (00 Labradorite).
Fields to be induced on a plastic pen once every 2 days.
By skimming over the lists of diseases with the appropriate pen tip, you get a resonance with the patient.
Let's review how.
Patient and Practitioner Side by Side
The patient is placed in front of the screen. The practitioner is located in the background, and he is
neutralized (by a Bristol with his name looking at his sternum – diagram below). His own pulse detects by the force of its beating the pathology from which the patient suffers.
An astonishing curiosity. If the tip of the Medius hovers over the title of a list (e.g. ENT specialty), the pulse signals whether or not it contains the disease involved. All that's left to do is open the list and detect the disease responsible for the resonance of the track. The disease thus spread its resonance to the Title itself. What an informative specificity!
Diagnostic Tests in Patient Absence
The subtlety of Pulsology is such that the patient can be replaced by his Cropped Photo or the Patient's First Name written in A or B form (placed on the left side of the screen – opened with Paint).
The list of diseases to be scanned is on the right side of the screen. The detector skips over the list in search of resonances, specific to the patient.
Imperative: the practitioner is neutralized by his sternal Bristol (supra).
Therapist, not Pulsologist
Any practitioner who knows how to take the radial pulse is able to appreciate the strength of the pulses.
If the patient is considering a possible illness, he or she can directly expose the patient to it. And if the pulse beats strongly, he has proof that his intuition was right. Admittedly, these strong beats must last half a minute for the diagnosis to be well targeted; If it lasts only six to 10 seconds, it remains incidental
.
.
Blinded, non-pulse therapy
The patient may be exposed to the 00 Th (therapeutic) sets that initiate the pathological lists.
This list is preceded by the 00 Dg (Diagnostic) sets at 0°, which is reserved for those who take the pulse.
This curious process reveals that the patient only captures the information that concerns him without being affected by the other information. However, he remains in the dark about the diagnosis.
Causes of failure.
An inaccurate diagnosis.
For the Pulsologist. A patient who arrives by car is polluted by the magnetic field of the engine's alternator. As soon as he arrives, I put him in the Labradorite as a priority, to calm his pulse, before continuing any examination.
Food or drug poisoning: in this case, the patient should also be exposed to depolluting Labradorite (at the top of the headings) before starting exposure to the main program.
The single Motfilm of a disease almost always needs other adjunctive pharmacological Motfilms – see remedes-numeriques.com's website.
Effects.
Would a poorly indicated Biofilm be able to induce side effects ? If the indication is really bad, the test exposure does not give any resonance.
Finally, exposure to information fields is not followed by any irreversible side effects. Only the right therapeutic information is recognized and captured . And this resonance only applies to the patient and not to those around him.
All you have to do is give it a try
Let us understand that it is not the image itself that acts but the information fields transferred by it, via the screen. In the same way, it is not the hands of the magnetizer that heal, but the "fluid", the Biochamp that his fingers release. To illustrate this digital care, "digital care" is therefore proposed to you.
Via the "Contact Us" tab you can comment and we will respond.
This research site allows for updates. Hence it's free.
Dr Jean-Claude Toureng