CHAMPS BIOLOGIQUES
Mise à jour 2025 09 12
Les Soins Numérisés que nous proposons en libre-service sont simples d’emploi. Ils reposent sur l’exposition du malade à des champs informatifs propres émis par l’écran d’un PC.
Devant un Biofilm, un "Infofilm", qui est un programme de champ biologique bénéfique, le pouls se met à battre avec force (sans s’accélérer). L'étude de ces champs repose en effet sur le Pouls de Nogier: www.pulsologie.com.
Ces soins sont complémentaires des traitements classiques. Ils entrent dans le cadre des « Thérapies conscientisées » tels des chants grégoriens.
Champs Informatifs : définition.
Ces champs immatériels émanent donc de tous les êtres vivants
L’effet bénéfique des chants d’oiseaux ou d’insectes, via des enregistrements audio, sur les plantations d’arboriculteurs est connue, ils contribuent à contrer les effets maléfiques des phytosanitaires que les arboriculteurs du voisinage utilisent. Les violons de la musique de Bach ont un résultat favorable similaire.
Certaines compositions musicales, les œuvres d’Allegri, de Tomas Luis de Victoria, de Pergolèse, de Palestrina ou de Monteverdi, par exemple, sont également aptes à induire une grande sérénité. La spiritualité du compositeur transcende mystérieusement la mélodie, même si la spiritualité de son interprète laisse à désirer.
Les granules homéopathiques en haute dilution, qui sont affranchis de toute matière hors leur support (granules).
Ces champs ne sont pas isolables à l’état pur mais les champs électromagnétiques porteurs les renforcent. Les PC témoignent de ces Infochamps biologiques à travers les effets cliniques qui accompagnent les expositions des malades aux Biochamps appropriés.
De la peau émane le point d’acupuncture. Depuis un siècle aucun microscope n’a pu révéler la moindre structure cutanée évocatrice d’un point d’acupuncture et pourtant ils existent, le pouls en fait foi. Et, bien ciblée, l’acupuncture est bien efficace – j’ai 30 ans d’expérience en patientèle dans ce domaine.
Nous entrons de plain-pied dans un monde « hors-scientifique » dès lors qu’aucune approche technique moderne n’arrive à appréhender ces phénomènes irrationnels qui viennent de la nuit des temps (acupuncture) et qui s'affranchissent de toute réalité scientifique.
Ces champs informatifs nous échappent puisqu’ils ne peuvent être captés isolément, ni enregistrés sur papier ou se laisser voir. Ils vont à l’encontre de la méthode scientifique, limitée aux observations « visuelles », vérifiables, reproductives, non réfutables.
Les champs informatifs émanent d’une réalité invisible; ils ne sont décelés que de manière « tactile » via la palpation du pouls radial et de tout l’arbre artériel.
Déjà en 1943, le Pr René Leriche avait noté un phénomène inexplicable chez un de ses malades qu’il avait opéré d’un anévrysme artérioveineux de la région fémorale. L’artère isolée mais encore dilatée réagissait, à l’œil nu, à de faibles stimuli cutanés distants ; il évoquait l’existence d’un « réflexe cutanéo-vasculaire » ; ce phénomène annonçait le futur Pouls de Paul Nogier.
Pour ma part, externe à l’Hôpital de l’Hôtel-Dieu de Paris, et chargé (en 1960) de l’étude du pouls d’un malade porteur d’un infarctus myocardique, j’avais noté les soubresauts de ce pouls quand l’infirmière était venue placer un thermomètre à mercure au contact du lit du malade ; la toxicité du mercure par conduction en était le stimulus ; mais j’étais trop jeune pour comprendre.
Ces champs informatifs procèdent de la Vie, mais aussi, de manière extraordinaire, du Verbe et de chaque MOT.
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Liens entre Champs EM et Champs Biologiques.
Partons des travaux de J. Benveniste et de ceux du Pr L. Montagnier, son prolongateur. Ces auteurs se sont focalisés sur les champs EM. Ils considérèrent que l’information encodée était de nature purement EM.
Notre conception diffère. Les champs informatifs, dans lesquels les êtres vivants baignent, sont en amont des Champs EM porteurs. Les champs EM ne sont que le support (via des champs de torsion) des champs informatifs.
Champs biologiques favorables.
Des champs biologiques naturels sont identifiables au milieu des prairies sous forme de cercles (dits de sorcière). L’herbe est bien plus verte et plus haute qu’au centre ou en périphérie ; il y a aussi les cercles de champignons (mousserons), surnommés "ronds de sorcières".
Nous sommes parvenus à mettre en avant ces champs informatifs. Ils relèvent du pouls de Nogier : ils résultent donc d’une approche clinique (qui échappe à l’IA) car ils relèvent de la palpation.
Maladies améliorées par les champs biologiques.
Notre étude a consisté à repérer, répertorier, via le pouls, les champs informatifs aptes à corriger un certain nombre de Pathologies courantes plus ou moins sévères.
A l’origine, ces champs biologiques enregistrés étaient issus de tissus pathologiques, et de substances pharmacologiques chimiques, (voir www.remedes-numeriques.com ) dès lors que leur Nom était bien défini.
Parmi les pathologies fréquentes, à partir de champs informatifs issus d’elles-mêmes, certaines sont faciles à traiter par exposition.
Comment agissent ces champs informatifs ? Il est fort difficile d’en rendre compte ; nous pensons qu’ils agissent par stimulation d’un substrat déréglé, mais lequel ?
Les pathologies oncologiques (cancers) sont aussi de notre domaine d'action ; nous proposons, sur le site « remedes-numeriques.com » des « Infofilms » de nombreux médicaments numériques (récents) afin de pouvoir choisir, via le pouls, les remèdes les mieux ciblés, les plus adaptés pour l'individu atteint. Cette offre reste totalement potentielle ; quel oncologue viendrait se "fourvoyer dans une telle connivence" sans risquer sa réputation ?
Les anomalies génétiques s’éloignent de notre domaine. Certes leurs Biofilms nous permettent de poser un diagnostic, voire de stimuler les gènes…
Mais 6 à 7000 maladies rares souvent orphelines ne peuvent être abordées, sans compter les pathologies personnelles non répertoriées parce qu’individuelles, qui attirent peu la recherche
Entre une sinusite, une grippe bénigne et des pathologies plus chroniques, il y a de nombreux degrés. Il y a aussi une différence entre les maladies compensées (le malade se défend) et les décompensées (l’organisme perd pied).
Les expositions que nous proposons seront donc plus ou moins efficaces et devront être poursuivies plus ou moins longtemps, mais, disons-le, certains Infofilms sont « encourageants ». Notre rôle est d’étayer les traitements déjà instaurés.
Certes dans les cas chroniques, la nature pathologique reprend ses droits et une nouvelle exposition aux Biofilms favorables s’impose.
Nous ne prétendons pas guérir mais soulager certaines maladies. En toute humilité, comme dans toute recherche, nous sommes sur un chemin non balisé non exempté d’erreurs.
Les Motchamps
Le Mot procède du Vivant et le Vivant procède du MOT, quelle que soit la langue, dès lors que le mot porte et soutient une entité précise.
Les champs informatifs procèdent aussi du Verbe et de chaque MOT. Ceci est une mutation de notre recherche.
Nos précédents Biofilms émanaient d’un point central zoomé.
Ce point se présentait comme le « noyau » de la Bande passante audio ou de toute photo d’image pathologique. Il était repéré avec un détecteur particulier. Son amplification (zoom) était censée marginaliser l’image environnante au profit de ce noyau. Et il m’apporta des résultats thérapeutiques non négligeables mais assez fluctuants...
Puis nous sommes passés au Mot bien cadré. La photo d’une rougeole par exemple fut remplacée par le mot « Rougeole ».. Avec étonnement nous avons constaté que ce mot avait lui aussi un foyer, un point central, qui pouvait être exploité comme ci-dessus. Nous avons seulement été intrigués de noter que ce foyer résonnait bien au survol d’un détecteur mais qu’assez souvent, pour d’autres Mots, la résonance se faisait « en halo » comme en regard d’un point en creux (pseudo-résonance) … Je fus amené à m’interroger sur la convenance de mes stylo-détecteurs, et fus conduit vers un détecteur d'abord plus naturel : la pointe de mon Médius .
UN Détecteur biologique : le Médius
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J’ai décrit, il y a longtemps, la division en damier du revêtement cutané du corps en 32 champs.
Le Médius de ma main D résume les 4 champs basiques du damier crânien (il en va de même du Médius G et des médius des orteils).

Les Motfilms définis à partir
du Médius-détecteur.
Avec ses 4 champs basiques, la pointe du Médius D me servait de détecteur de points en acupuncture en me rendant de réels services, et ce depuis longtemps.
Je décidai alors d’utiliser ses dons naturels pour décrire mes Motfilms. Il s’avéra très expressif voire trop. Il me dirigea d’abord vers les Mots distribués en 16 cases à l’image des 16 champs cutanés en damier de l’avant ou de l’arrière du corps.
Ces damiers à 16 cases m’apportèrent un enseignement positif.
Prenons l’exemple du Betnésol. La prise du pouls nous montre que, spontanément, cette image induit des pulsations transversales du pouls quand on la regarde. Cependant, si on lui tourne le dos, les pulsations sont longitudinales. Il existe donc un lien une résonance positive avec le damier cutané dorsal. En toute hypothèse, le Betnésol cible de préférence l’arrière du corps.

Cependant, si nous réalisons le même damier avec le mot Eludril, les pulsions du pouls sont en Long de face (et en travers de dos). L’Eludril semble donc cibler l’avant du corps.

Rappelons ceci : les pulsions longitudinales, en Long, sont toujours celles que nous recherchons tant sur le plan diagnostique que thérapeutique. Les pulsations en Travers sont péjoratives, nocives.
Analyse des Motfilms en damier : groupes, marges d’erreur et cohérence
Les Mots de maladies ou de médicaments montrèrent des caractéristiques assez variables. L’analyse approfondie du Médius a permis de distinguer six groupes importants, tout en mettant en évidence l’augmentation des marges d’erreur liées à cette catégorisation. Ce découpage en groupes reflète la variabilité inhérente aux Motfilms.
La résonance entre un malade et son remède implique une parfaite homogénéité de la liste contenant les médicaments testés. Or cette cohérence est une notion incontournable. Elle exige un investissement considérable en temps, représentant près des deux tiers du travail de recherche.
Nous achoppons encore sur une double déconvenue :
1/ le caractère oscillant des Mots en damier persiste et s’implique dans la difficulté à les classer en plusieurs groupes bien distincts.
2/ Et l’intrusion d’un élément, extérieur au groupe, perturbe sa cohésion : il favorise une sorte de contamination de la zone de la liste où il a été placé (rangé par ordre alphabétique en général).
Du Médius au STAR
Bien qu’élément naturel, le Médius nous a conduit vers des Motfilms en damier ambigus. Nous avons dû repartir sur d’autres bases.
En Pulsologie le détecteur est la pierre angulaire entre l’info qui émane du Mot et le pouls de l’observateur.
Une étape supplémentaire a été franchie. Nous référant à cette assertion de « soins conscientisés » évoquée dans notre introduction, nous nous sommes adressés à ce que j’appelle la STAR. Il s’agit de la fameuse Icône « Sainte Trinité d’Andrei Roublev. »
Si un stylo plastifié est placé devant cette icône, il se charge d’un information métaphysique. En pratique, le stylo (tenu entre les 3 premiers doigts de ma main D) est placé à 10cm devant l’écran du PC qui affiche l’Icône ; la prise de pouls simultanée indique que le stylo est induit après 30 à 40 pulsations.
Ce stylo STAR est l’instrument le plus pointu en ma possession.
Une étape supplémentaire a été franchie. Nous référant à cette a Une étape supplémentaire a été franchie. Nous référant à cette assertion de « soins conscientisés » évoquée dans notre introduction, nous nous sommes adressés à ce que j’appelle la STAR. Il s’agit de la fameuse Icône « Sainte Trinité d’Andrei Roublev. »
Si un stylo plastifié est placé devant cette icône, il se charge d’un information métaphysique. En pratique, le stylo (tenu entre les 3 premiers doigts de ma main D) est placé à 10cm devant l’écran du PC qui affiche l’Icône ; la prise de pouls simultanée indique que le stylo est induit après 30 à 40 pulsations.
Ce stylo STAR est l’instrument le plus pointu en ma possession.
Le Motfilm nouveau

Revenons à notre ancien point de départ qui fut à l’origine des Motfilms en damier (à 16 cases). Le Médius retrouve la résonance du point central qui se confond avec le O et le caractère oscillant des 4 angles (intérieur du cadre). Le stylo STAR retrouve aussi le point axial mais non les oscillations.
Si maintenant nous inversons les couleur du Mot, nous obtenons cette nouvelle entité.

Sur celle-ci le Médius en survol reste muet.
Et le stylo STAR résonne en survol devant tout le Mot et non ailleurs ! Et, mystère, 32 pulsations se produisent pendant cette résonance, ce qui évoque les 32 champs cutanés corporels. Cette entité est « fixe ». Ou du moins cette fixité est très prolongée, car après les 32 P du Mot, se produisent 32 P de la périphérie du fond noir.
Puisque le stylo STAR résulte d’une induction, il se décharge lentement à l’usage. Curiosité à signaler, il se décharge beaucoup plus rapidement en regard des Mots écrits noir sur blanc que devant les Mots en Blanc sur fond noir. La lumière blanche du mot semble « l’inspirer ».
La cohésion au sein d’un groupe de Mots, d’une liste, dépend de la topologie de chaque Mot.
Les Organes antérieurs du corps, il y a quelques temps, avaient été facilement distingués des Postérieurs au moyen d’un stylo spécifique. Cette séparation avait été le premier indice d’une homogénéité topologique fructueuse. Mais elle resta limitée aux Organes.
Depuis cette distinction est revenue en surface ; elle s’est avérée toutefois insuffisante.
Depuis que nous avons des Mots de maladies ou de médicaments en blanc sur fond noir, nous avons ajouté une catégorie intermédiaire, comportant par exemple des thérapies agissant globalement aussi bien en Avant qu’en Arrière du corps.

Ceci nous a conduit à compléter l’info délivrée issue d’un médicament par sa topologie antérieure ou Recto RR, postérieure ou Verso VV, Antéro-postérieure RV.
La méthode d’affiliation topologique d’un Médoc Blanc sur fond noir
La liste des remèdes est écrite sur une page Word en Blanc sur fond noir (Arial 24).
Une option d’interligne « 3 » est activée. Ce grand espacement vise à minimiser l’interinfluence de 2 Médocs de topologies différentes.

Une ligne « RR RV VV » est placé à l’extrémité de chaque substance médicinale.
Le stylo STAR survole la ligne depuis le médoc jusqu’à VV et le sigle qui résonne définit la topologie du médicament : ici, Omalizumab résonne avec RR ; ce RR est accolé au médoc. Ce médicament vise une sphère pathologique antérieure.

Ce procédé s’accompagne de trois avancées.
1/ quand une extension topologique est réalisée, une résonance bonne et prolongée (32P) s’établit, via le survol de la pointe du stylo, avec le médicament.
Le Nom de celui-ci porte en lui-même son action et sa cible.
2/ Si aucune résonance ne se produit avec chacun des 3 éléments, ou bien nous sommes en présence d’un faux médicament (ce qui est assez rare) ou bien le médicament est impropre : parfois le nom générique résonne mieux que le nom de spécialité ou bien c’est l’inverse ; est retenu l’élément qui résonne.
3/ Les Médicaments d’une spécialité sont alors répartis en 3 groupes bien homogènes : aucune inter-influence topologique n’entrave leur expression au pouls.
LE MALADE ET SES 2 REPRÉSENTATIONS
1/ Il peut se manifester via sa photo (tête et cou) envoyée par mail ou WhatsApp. Sous forme directe ou inversée de couleur.
Il est aussi possible de le nommer sous forme : « Prénom-N. » en Blanc sur Noir ou noir sur Blanc.
Selon la forme retenue le stylo sera Le STAR + ou le stylo STAR (-) inversé de couleur.
2/ Le malade peut aussi être à distance et sa voix via le téléphone est source d’info en 1D. Tant qu’il est au bout du fil, même sans parler, la présence du patient devant son microphone suffit à vous transmettre l’information biologique, pathologique de tout son être. C’est aussi prodigieux qu’hallucinant. En cette circonstance, le Pulsologue 3D n’interfère pas.
Il devient même possible de mesurer à distance l’effet d’un traitement.
3/ En présence du patient en 3D, des éléments de réponse sont recevables. Le malade fait face au centre de l’écran alors que le praticien, à son côté, est latéralisé et en oblique par rapport à l’écran, ce qui crée une disparité non influente.
La Liste et ses deux représentations
La liste idéale est donc une liste des Mots sur Word avec page en fond noir (faite à partir de : Conception > Couleur de page > couleur du thème (noir)). Les Mots deviennent blancs.
Cette liste permet les tests de remède en regard du malade, mais elle ne fait qu’indiquer le meilleur remède.
La seconde liste est celle des Motfilms des médicaments qui serviront à l’exposition.
Le souci : les noms des dossiers sont tous en noir sur blanc, ce qui ne peut être inversé sous Windows. Or une interaction se produit entre le nom du dossier en noir sur blanc et son contenu en blanc / noir : ceci aboutit à un affaiblissement de l’info.
Le test de remèdes sur dossiers sont donc délicats.
Une astuce : après capture des noms de dossier, l’inversion de couleur rétablit le fond noir ; avec noms plus petits.
Spécificité de la résonance entre une photo et une substance
1/ Spécificité du Mot en soi : il peut être composé : « générique-spécialité ». Si jamais il y a erreur sur l’un d’eux, mésalliance, le médius ou le STAR+ ne perçoivent plus de résonance.
Exemple:

2/ En revanche, le Nom générique ou celui d’une spécialité médicinale résonne parfaitement tant avec la photo des gélules du médicament, qu’avec la photo de son emballage portant son Nom.
Expérience simple : afficher sur le PC le Nom du médicament à G de l’écran (Salbutamol) et la photo du même médicament à D (Ventoline), sans contact des images ; le survol à distance avec le Médius D révèle la forte résonance qui unit les deux images ; si l’une d’elles est retirée de l’écran, toute résonance au pouls disparaît ; elle s’évanouit, aussi, quand le Nom ne correspond pas à l’image.
Le mystère du Prénom
Comme nous venons de le voir, le malade peut être remplacé autant par sa photo que par son « Prénom-Nom ».
Ce qui interpelle vivement, c’est ceci : le Prénom-N. n’est pas daté ! Tout se passe comme si le temps n’existait pas ! A trois mois d’écart un même patient peut être porteur de deux affections différentes ; or les remèdes élus seront en phase avec l’état sanitaire actualisé du patient représenté par son Prénom-N sur lequel le Pulsologie se concentre. Puisqu’aucune photo ne peut témoigner des affections passées, il reste possible malgré tout de revenir en arrière en ajoutant sur le dossier de la photo ou du prénom, la date antérieure de l’ex pathologie.
Elle va à l’encontre de la démarche scientifique qui exige la répétitivité de toute expérience et la référence au temps.
Ceci n’est pas une expérience de pensée ; j’’évoquerais plutôt une expérience de conscience, car celle-ci ne peut réussir que si le porteur du Prénom-N (ou sa photo) est vivant : en effet le Prénom d’une personne décédée reste muet en regard de la pathologie qui la emportée : il n’entre en aucune résonance médicinale non plus ! Ainsi la cause d’un décès n’est pas accessible.
A contrario, la photo ou le damier d’une personne vivante est apte à toute investigation pulsologique, même si cette personne vit aux antipodes de la terre.
Bref, on peut toucher du doigt la Transcendance, donc les deux Mondes.
Mesure de la spiritualité humaine.
C’est la seule information que peut délivrer la photo d’un être disparu.
Cette mesure se fait bien sûr sur la photo d’un vivant.
Lors de la définition des champs informatifs, nous avons écrit, concernant les compositions musicales: « La spiritualité du compositeur transcende mystérieusement la mélodie qu’il a composée…et dont une sérénité émane ». Cette spiritualité en effet se mesure via la pulpe du pouce.
Si le pouce regarde le centre d’un visage le pouls est apte à dénombrer un certain nombre de pulsations : 60P pour le visage de J-S Bach sont émises, 80P pour Allegri ou Luis de Victoria…
Ces mesures vont bien au-delà pour les saints chrétiens : tous atteignent 120P ! Etonnante particularité de cette spiritualité, elle peut être émise par les photos ou les prénoms de personnes depuis longtemps trépassées. Cette mesure n’a donc aucun rapport avec les études de résonances pathologiques.
Il existe aussi une spiritualité maléfique, ce qui expliquerait les mesures négatives des cruels potentats. Celle des dictateurs, de Staline à Pol Pot obéit à ces mesures, à ceci près que ce n’est pas le centre du visage mais le halo de la tête qui, en regard du pouce, réagit : 50 à 60 P révèlent le degré de malignité de ces être endiablés qui contraignent les peuples. Ils peuvent s’amender et leur niveau de « spiritualité » s’améliorer.
La grâce de la spiritualité apparaît lors du baptême, encore doit-on la faire fructifier.
Il faut signaler qu’une grande proportion d’âmes ne réagissent pas : aucune pulsation, ni au centre du visage ni en sa périphérie ne se manifeste. Ce silence ne permet pas de prévoir l’avenir de ces âmes
Ces mesures semblent impliquer ceci : la spiritualité du Pulsologue, qui les réalise, doit être égale ou supérieure à 1P. A noter que l’art de la Pulsologie a les mêmes exigences : outre son acuité tactile, la spiritualité du Pulsologue doit être égale ou supérieur à 1.
Mode d’emploi des soins-numerises.
Diagnostic
La Maladie
Le diagnostic repose sur la liste des maladies rangées par spécialités et classées en RR RV VV..
Pour le Pulsologue, cette liste est latéralisée sur un côté de l’écran (soins-numerises.com). la photo ou le Prénom est latéralisé de l’autre côté de l’écran.
Aucun contact ne doit avoir lieu entre les deux dossiers (Prénom ou photo du malade à G / liste de diagnostics au centre D).
De plus, le dossier du malade, contenant le diagnostic ou les différents remèdes en résonance, doit être déporté à l’extrême G de l’écran, côté photo, loin de la liste des pathologies situées à D, pour éviter toute interférence dans la poursuite des études de résonance.
De l’usage du détecteur.
1/ Avec le détecteur-stylo S.T.A.R. 1, on survole les diverses pathologies de la spécialité incriminée pour cibler la maladie dont souffre le malade.
Il faut bien s’entendre sur le type de résonance qui se manifeste.
Il est nécessaire de se remémorer (site de Pulsologie / Réaction d’écart) que le remède ou le Motfilm de la Maladie n’est « favorable » que si le pouls réagit lors de l’écartement d’un médicament loin du corps ; alors qu’auprès, au contact, il est parfaitement silencieux.
Ce phénomène se manifeste ainsi lors des tests : le survol de la liste de médicaments, proche de la photo et via le stylo S.T.A.R, fait réagir le pouls de cette manière : au cœur d’une liste agitée de pulsations, se révèle une zone plus calme et au centre de cette zone se trouve une maladie ou un remède totalement silencieux, c’est lui l’élu, c’est lui le remède qui se manifeste « en creux », c’est un reflet de la réaction l’écart. Ce silence se perpétue.
2/ Ce procédé pulsologique peut être contourné via le stylo S.T.A.R. 2.qui est induit par l’icône inversée de couleur. Ce stylo permet de retrouver les mêmes remèdes qu’avec le S.T.A.R. 1. Mais en relief. Ce procédé peut être choisi par les Pulsologues débutants.
L’Exposition thérapeutique
Le patient se place devant l’écran, à 40 ou 50cm, voire à 3 mètres s’il est alité.
Ce positionnement est assez arbitraire car le Motfilm émis par l’écran diffuse partout sans que son intensité ne diminue beaucoup à l’écart.
Les Motfilms sont indiqués par le Pulsologue.
Le malade, au diagnostic établi par son médecin, peut s’y exposer de lui-même.
Lors de l’Exposition, on recueille nombre de pulsations (20 à 200 P voire plus).
En début de traitement, selon la gravité des choses, l’Expo peut durer 15 minutes ou plus.
Mais au fil des jours, les Expos se renouvelant, le nombre des Pulsations initiales décroît.
Et quand aucune résonance n’est plus perçue, le malade est stabilisé pour un temps.
Le Motfilm de la « maladie » a un effet thérapeutique.
Le Motfilm pathologique, adapté au malade, s’affiche sur l’écran de manière visuelle.
Il est statique, immobile ; il envoie, via les champs EM porteurs de l’écran, une information spécifique nominée.
Pour chaque maladie, un Motfilm est proposé qui cible de manière directe la pathologie en cours de traitement.
Plusieurs Motfilms de substances médicinales sont souvent nécessaires (cas du Covid). Infectiologie et antibiotiques ; complications Cardio-vasculaires, Système nerveux central, Rhumato.
Dès le début de l'exposition le pouls bat fortement (si le Motfilm est bien ajusté, opportun). Pendant la durée d’imprégnation de l’organisme, de forts battements du pouls se manifestent ; quand le pouls est enfin calmé, l’expo peut être arrêtée.
En pratique, le malade se place devant l’écran. Devant chaque Motfilm, il s’expose une ou deux fois par jour, pendant une minute les deux premiers jours, puis 30 secondes après.
Si aucune amélioration clinique ne se produit à l’issue d’une cure de cinq jours, on peut tout suspendre, le Motfilm n’est pas adapté ou bien insuffisamment accompagné.
La thérapie surveillée par le Pulsologue.
Sur le plan thérapeutique, le praticien peut évaluer, via son propre pouls, l’effet du Motfilm sur le malade en 3D et sa durée informative.
Son propre pouls décèle par la force et le nombre de ses battements l’intensité de la pathologie dont souffre le malade ; ceci suppose que le praticien n’interfère pas avec son patient ; pour ce faire le praticien doit se placer en position oblique (45°) par rapport à l’écran, alors que le malade fait face.
Tout praticien sachant prendre le pouls radial est apte à apprécier la force des pulsations.
Tout clinicien évoquant un diagnostic peut contrôler, par là même, son intuition.
Homéopathiques, Allergènes, Phytosanitaires, stupéfiants Germes et Virus. Leur présentation
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1/ Nous proposons des Motfilms en Haute dilution homéopathique.
Les Hautes dilutions sont censées neutraliser l’effet des substances pures, à l’état brut.
Les dilutions varient avec la substance étudiée.
Les homéopathes traditionnels ont toujours fixé la dilution de manière empirique, ne précisant pas si celle-ci variait avec le malade ou la substance prescrite ou l’acuité de la maladie.
Selon notre approche, la dilution optimale est une constante de la substance résonante.
2/ Pour rester cohérentes les listes des Homéopathiques ou des allergènes doivent se soumettre à deux règles. D’abord respecter leur localisation, leur topologie : RR, RV, VV. Ensuite une séparation, une discontinuité doit être inscrite entre les séries de remèdes de dilutions différentes : X- 10^-0 représente une entité X = zéro, elle est intercalée entre deux dilutions différentes.
Le fruit de cette séparation : plusieurs remèdes de dilutions différentes peuvent être décelés dans plusieurs séries d’une liste (VV par exemple).
3/ Les dilutions Hahnemanniennes ne sont plus respectées. Nous trouvons les résonances idoines à partir d’un « nuancier » de Hautes Dilutions décimales, la plus grande étant celle qui correspond au nombre d’Avogadro.

Le diagnostic se conforme à la notion de réaction « Contact-Ecart » vue plus haut, via les stylos S.T.A.R. 1 ou 2.
En l’occurrence, à gauche sur l’écran, le Prénom du malade ou de sa photo en miniature ; les dossiers des allergènes ou Homéopathiques sont à droite.
4/ Cette même technique s’étend à la lutte contre les Intoxications par les produits phytosanitaires, contre les stupéfiants.
Elle s'étend enfin aux germes et aux Virus, présentés aussi en grandes dilutions.
Les causes d’échecs.
1/ Le Pulsologue et son état sanitaire
Le praticien peut être affligé comme chacun de troubles divers et variables. Les résultats de ses tests peuvent alors être discordants d’un moment à l’autre, il est donc en partie impliqué.
Dans ce cas, il doit bénéficier régulièrement d’une exposition à un « Champ-pathologique » indéterminé, qui, en B sur fond noir a un effet aggravant, mais qui a l’effet inverse en N sur fond blanc ; ce champ inhibe les infos pathologiques personnelles, pour un certain temps (48 H) du Pulsologue.
"Champ-Pathologique"
Remarque. Si le Pulsologue veut faire des autotests pour s’automédiquer, il doit aggraver son propre état pathologique en s’exposant au Champ-pathologique en B. sur fond noir.
2/ Un diagnostic inexact.
3/ Le Motfilm d’une maladie a très souvent besoin d’autres Motfilms pharmacologiques complémentaires – voir site de remedes-numeriques.com
"Le pouls toxique"
Le Pouls toxique (pulsations actives en travers et continuelles), ses causes :
1/ Voyage en voiture thermique. A son arrivée, le patient est pollué par le champ magnétique de l’alternateur du moteur. Je l’expose en priorité, dès son arrivée, à la Labradorite, pour calmer son pouls, avant de poursuivre tout examen.
Notons que voyager en voiture électrique est toujours plus polluant qu’en voiture thermique.
2/ Une intoxication alimentaire, raison de la consultation, exige la même dépollution devant l’écran de Labradorite.
3/ La plus pernicieuse est l’intoxication médicamenteuse (supra).
La plus courante provient des patients qui s’automédiquent via des produits parapharmaceutiques dont la liste est vaste : certains sont parfois favorables beaucoup sont inutiles voire nocifs à trop en prendre.
Il y a bien sûr les médecines proposées en première intention par les confrères. La pharmacopée est devenue de plus en plus active et florissante ; les effets secondaires en sont la contrepartie.
Dans ces cas il faut exposer le patient à la Labradorite dépolluante (en tête des rubriques du site) avant de poursuivre l’examen et aboutir à un diagnostic et une thérapie. Le Pulsologue lui-même n’est pas à l’abri d’errance : même après dépollution, le métabolisme des substances médicinales ingurgitées par le malade n’est pas assurément terminé, des suspicions de déviances persistent.
4/ Après LBD et régularisation du pouls, les substances nocives non digérées peuvent encore perturber les tests de remèdes. Seule la réaction d’écart reste alors pertinente.
La réaction d’écart.
Quand le malade teint en main un médicament, il contacte son thorax, son sternum puis étend vivement le bras et sa main devant lui : si des pulsations nettes sont déclenchées à l’écart, ce médicament est favorable, c’est un vrai remède. En revanche, si réactions au contact (contre le sternum) et non à distance, le médicament est nocif.
Si aucune réaction, ni à l’écart ni au contact, la substance est neutre donc inutile… mais elle peut aussi avoir été absorbée, juste avant, à la très bonne posologie.
Effets secondaires.
Un Motfilm mal indiqué serait-il apte à induire des effets secondaires ? Si l’indication est mauvaise, l’exposition-test ne donne aucune résonance et, partant, n’a pas d’action.
L’exposition aux germes pathogènes, aux allergènes, aux stupéfiants, présentés en hautes dilutions homéopathiques, ne font courir aucun risque. Et si une résonance se manifeste, elle est de nature inhibitrice, bienfaisante.
Il n’y a plus qu’à essayer
Saisissons bien que ce n’est pas l’image elle-même qui agit mais les champs informatifs transférés par elle, via l’écran. Pour illustrer ces soins digitalisés, les « soins numérisés » vous sont donc proposés.
Ce site de recherches est voué aux mises à jour. D’où sa gratuité.
Dr Jean-Claude Toureng